Mon petit doigt m'a dit (film)

film de Pascal Thomas, sorti en 2005

Mon petit doigt m'a dit... est une comédie policière réalisée par Pascal Thomas, sortie en 2005. Le scénario est adapté du roman éponyme d'Agatha Christie.

Catherine Frot et André Dussollier incarnent les époux Prudence et Bélisaire Beresford, qui rendent visite à la tante Ada, à la maison de retraite du "Côteau ensoleillé". Des sous-entendus sur le décès prématurés de certains résidents intriguent les Beresford, qui mènent l'enquête.

Citations

modifier
Prudence Beresford : Même en zone de guerre, je ne me serai jamais promené sur des chênes, au-dessus d’un ravin.
  • Catherine Frot, Mon petit doigt m'a dit (2005), écrit par François Caviglioli, Nathalie Lafaurie, Pascal Thomas


Prudence Beresford : Un compliment à bout portant peut achever une femme plus sûrement qu’une balle.
  • Catherine Frot, Mon petit doigt m'a dit (2005), écrit par François Caviglioli, Nathalie Lafaurie, Pascal Thomas


Madame Pacard : Nous avons un personnel très patient, très compétent, pas trop intellectuel. Les gens trop intelligents ont tendance à avoir des sautes d’humeur.
  • Elizabeth Macocco, Mon petit doigt m'a dit (2005), écrit par François Caviglioli, Nathalie Lafaurie, Pascal Thomas


Colonel Bélisaire Beresford : Je t’ai épousé parce que tu étais le genre de femme à ne jamais me laisser un moment de repos…tu ne m’as jamais déçu.
  • André Dussollier, Mon petit doigt m'a dit (2005), écrit par François Caviglioli, Nathalie Lafaurie, Pascal Thomas


Le curé de Châtelard : Les Perry, Amos et Alice. Amos a visage remarquable, médiéval.
  • André Thorent, Mon petit doigt m'a dit (2005), écrit par François Caviglioli, Nathalie Lafaurie, Pascal Thomas


Hélène Coupelay  : Boscovan, il n’a jamais fait d’enfants ici ; il n’a fait que des cocus.
  • Valériane de Villeneuve, Mon petit doigt m'a dit (2005), écrit par François Caviglioli, Nathalie Lafaurie, Pascal Thomas


Colonel Bélisaire Beresford : La police n’aime pas ça, les gens qui meurent en bonne santé.
  • André Dussollier, Mon petit doigt m'a dit (2005), écrit par François Caviglioli, Nathalie Lafaurie, Pascal Thomas


Madame Boscovan : Vous devriez empêcher votre femme de poursuivre des fantômes. On ne sait pas où ils peuvent vous entrainer.
  • Alexandra Stewart, Mon petit doigt m'a dit (2005), écrit par François Caviglioli, Nathalie Lafaurie, Pascal Thomas


Commissaire Richard : Les diamants, Prudence, ça doit être taillé. Comme pour la vigne.
  • Pierre Lescure, Mon petit doigt m'a dit (2005), écrit par François Caviglioli, Nathalie Lafaurie, Pascal Thomas


Dialogues

modifier

Madame Pacard (à propos de la tante Ada) : Elle est dans un mauvais jour, mais vous la connaissez…il lui arrive d’être aimable.
Prudence Beresford : Elle ne m’a jamais montré ce côté de sa personnalité.

  • Elizabeth Macocco, Catherine Frot, Mon petit doigt m'a dit (2005), écrit par François Caviglioli, Nathalie Lafaurie, Pascal Thomas


Colonel Bélisaire Beresford : À propos de maman, elle est morte.
Tante Ada : Ah bon ? Quand ça ?
Colonel Bélisaire Beresford : Y’a quarante ans.
Tante Ada : Comme le temps passe.

  • André Dussollier, Françoise Seigner, Mon petit doigt m'a dit (2005), écrit par François Caviglioli, Nathalie Lafaurie, Pascal Thomas


Le Général : C’était la plus belle femme que j’ai jamais vu. Je l’ai connu quand j’étais lieutenant ; elle aimait la jeunesse vigoureuse.
Colonel Bélisaire Beresford : Qui, mon général ?
Le Géneréal : Votre tante, le commandant Ada Beresford. Vous l’auriez connu jeune ; elle en a fait tourner des têtes dans l’armée.
Prudence Beresford : Ce vieux dragon, j’en reviens pas. Elle était dans l’armée, mais en plus, elle faisait des conquêtes.
Colonel Bélisaire Beresford : C’est de plus en plus rare chez les militaires.

  • Bernard Verley, André Dussollier, Catherine Frot, Mon petit doigt m'a dit (2005), écrit par François Caviglioli, Nathalie Lafaurie, Pascal Thomas


Prudence Beresford : Décidément, je n’aime pas les dents de cette femme.
Colonel Bélisaire Beresford : Pourquoi ?
Prudence Beresford : Elle en a trop, ou bien elles sont trop longues.

  • Catherine Frot, André Dussollier, Mon petit doigt m'a dit (2005), écrit par François Caviglioli, Nathalie Lafaurie, Pascal Thomas


Colonel Bélisaire Beresford : Pourquoi ce serait à moi de l’appeler ?
Prudence Beresford : Tu m’as expliqué cent fois que les notaires n’aimaient pas avoir à faire avec les femmes.
Colonel Bélisaire Beresford : Mais c’était il y a vingt ans. Les femmes ont changé.
Prudence Beresford : Oui, mais pas les notaires.

  • André Dussollier, Catherine Frot, Mon petit doigt m'a dit (2005), écrit par François Caviglioli, Nathalie Lafaurie, Pascal Thomas


Le Général : N’oubliez pas ce qu’a dit Nelson.
Colonel Bélisaire Beresford : « Un amiral sans imagination est plus dangereux qu’une tempête ».

  • Bernard Verley, André Dussollier, Mon petit doigt m'a dit (2005), écrit par François Caviglioli, Nathalie Lafaurie, Pascal Thomas


Colonel Bélisaire Beresford (à propos de Prudence) : Pour elle, il n’y a ni suicide, ni mort naturelle. Il n’y a que des crimes impunis. Elle appelle ça mettre de l’ordre dans la folie du monde. Elle est obsédée par les criminels compétents.
Le Géneréal : C’est-à-dire ?
Colonel Bélisaire Beresford : Ceux qui ne se font jamais prendre.

  • André Dussollier, Bernard Verley, Mon petit doigt m'a dit (2005), écrit par François Caviglioli, Nathalie Lafaurie, Pascal Thomas


Le curé de Châtelard  : Il m’arrive de dire des choses que je ne comprends pas.
Prudence Beresford : C’est normal, vous êtes prêtre.

  • André Thorent, Catherine Frot, Mon petit doigt m'a dit (2005), écrit par François Caviglioli, Nathalie Lafaurie, Pascal Thomas


Docteur Mauroy  : Le problème avec les vieux, c’est qu’ils ne doivent pas mourir trop tôt. La loi est formelle sur ce point, alors que les familles sont souvent d’un autre avis.
Colonel Bélisaire Beresford : Le législateur légifère sans tenir compte des réalités.

  • André Dussollier, Hervé Pierre, Mon petit doigt m'a dit (2005), écrit par François Caviglioli, Nathalie Lafaurie, Pascal Thomas


Vous pouvez également consulter les articles suivants sur les autres projets Wikimédia :