Paul-Jean Toulet
Paul-Jean Toulet (Pau, 5 juin 1867 - Guéthary, 6 septembre 1920) est un écrivain et poète français, célèbre par ses Contrerimes, une forme poétique qu'il avait créée.
Les Trois Impostures, 1922
modifier- « Les Trois Impostures », dans Référence:Paul-Jean Toulet, Les Trois Impostures, 1922, Mulier, 50), p. 35 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- « Les Trois Impostures », dans Œuvres complètes, Paul-Jean Toulet, éd. Robert Laffont, 1986 (ISBN 2-221-04848-2), Mulier, 89), p. 172 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- « Les Trois Impostures », dans Œuvres complètes, Paul-Jean Toulet, éd. Robert Laffont, 1986 (ISBN 2-221-04848-2), Mulier, 94), p. 172 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- « Les Trois Impostures », dans Œuvres complètes, Paul-Jean Toulet, éd. Robert Laffont, 1986 (ISBN 2-221-04848-2), Mulier, 140), p. 178 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- « Les Trois Impostures », dans Œuvres complètes, Paul-Jean Toulet, éd. Robert Laffont, 1986 (ISBN 2-221-04848-2), Amicique, 179), p. 183 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- « Les Trois Impostures », dans Œuvres complètes, Paul-Jean Toulet, éd. Robert Laffont, 1986 (ISBN 2-221-04848-2), Amicique, 201), p. 185 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- « Les Trois Impostures », dans Œuvres complètes, Paul-Jean Toulet, éd. Robert Laffont, 1986 (ISBN 2-221-04848-2), Necnon DII, 252), p. 195 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Citation choisie pour le 18 mai 2011.
Citations sur Paul-Jean Toulet
modifierPaul-Jean Toulet (en Béarn, on fait sonner le t final) appartient à la merveilleuse secte des écrivains dits mineurs. Mineurs parce qu’ils n’ont jamais atteint une large audience qui violerait l’intimisme de leur œuvre ou parce que les « Happy few, we band of brothers » de Shakespeare et les deux mille heureux que se souhaitait Stendhal jalousent cet élu et entendent le partager en famille, en famille seulement. Qu’on évoque son nom et il se trouve plus que souvent un membre de la secte ou même un extraterrestre pour murmurer :
Dans Arle, où sont les Aliscams,
Quand l’ombre est rouge, sous les roses,
Et clair le temps,
Prends garde à la douceur des choses.
Lorsque tu sens battre sans cause
Ton cœur trop lourd ;
Et que se taisent les colombes.
Parle tout bas, si c’est d’amour,
Au bord des tombes.