Première Guerre mondiale
La Première Guerre mondiale est un conflit qui a commencé en 1914 et qui s'est conclu par l'armistice du 11 novembre 1918. Les puissances alliées conduites par l'Empire britannique, la France, la Russie (jusqu'en mars 1918), et les États-Unis après 1917 ont vaincu les Empires centraux conduits par l'Empire allemand, l'Autriche-Hongrie et l'Empire ottoman.
Georges Clemenceau, Discours de guerre
modifier- Discours de guerre, Georges Clemenceau, éd. Presses universitaires de France, 1968, p. 132
- The origins of the First World War, James Joll, éd. Longman, 1984, p. 31
- Kafka, subjectivité, histoire et structures: subjectivité, histoire et structures, Rose Marie Ferenczi, éd. Klincksieck, 1975, p. 68
Hubert Lyautey
modifier- Réception des Français, à Rabat, le 1er janvier 1920.
- Paroles d'action, Hubert Lyautey, éd. Armand Colin, 1927, p. 306
- Rapport sur le Bilan des Pertes en Morts et en Blessés des Nations Belligérantes, Baron des Lyons de Feuchins, éd. Journal Officiel, 1924, Documents Parlementaires, Annexe n° 335, p. 15
- « Les troupes coloniales arrivent », Marc Michel, Les collections de l'Histoire, nº 11 Hors-Série, avril 2001, p. 25
Déclenchée par un fait divers presque dérisoire, qui sert de prétexte à des haines recuites, la Grande Guerre est une guerre civile aux dimensions mondiales. Dénoncée par un petit nombre de grands esprits qui, d'un côté comme de l'autre, passent aussitôt pour des traîtres, elle va provoquer de grandes souffrances dans les deux camps, entraîner la mort de plus huit millions d'êtres humains et ouvrir la voie au déclin de l'Europe.
Divers
modifiersurtout penser aux Sarrasins du Moyen-age. Et, dans le nombre, parmi les blancs comme parmi les indigènes, surtout parmi les vieux sous-officiers arabes, quels fiers visages militaires et quelles superbe démarches ! L'allure de ces hommes est si belle, si tranquille et si sûr... leurs titres sont les plus nombreux et les plus beaux qu'une troupe puisse revendiquer: petits-fils des zouaves d'Inkermann et de Sébastopol, de Magenta et de Solférino, des tirailleurs de Froeschwiller et de Wissembourg, héros eux-mêmes de Charleroi et de Guise, de Quennevières et de la Champagne, noblesse héritée et noblesse acquise les obligent à la fois.
- L'ambulancier Pierre-Alexis Muenier qui enlève en voiture les blessés des postes de secours, ne peut s'empêcher, en doublant d'admirer les zouaves et les tirailleurs qui défilent vers le front de Verdun en 1916.
- L'angoisse de Verdun: notes d'un conducteur d'auto sanitaire, Pierre-Alexis Muenier, éd. Presses universitaires de Nancy, 1991, p. 54
- Le carnet retrouvé, Louis Dermine raconte Charleroi en août 1914, Louis Dermine et Étienne Grandchamps, éd. Éditions du Basson, 2014 (ISBN 978-2-930582-19-1), p. 50