« Les Faux-monnayeurs » : différence entre les versions
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{{citation|
[L]es passions mènent l'homme, non les idées.
On veut donner le change, et l'on s'occupe tant de paraître, qu'on finit par ne plus savoir qui l'on est…▼
}}
{{réf Livre
Ligne 81 :
|année=1925
|partie=II (« Saas-Fée »)
|chapitre=
|page=
|ISBN=2-07-040082-4}}
Ligne 99 :
|ISBN=2-07-040082-4}}
{{citation|
▲On veut donner le change, et l'on s'occupe tant de paraître, qu'on finit par ne plus savoir qui l'on est…
}}
{{réf Livre
|titre=Les Faux-monnayeurs
|auteur=André Gide
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio Plus
|année=1925
|partie=II (« Saas-Fée »)
|chapitre=4
|page=232
|ISBN=2-07-040082-4}}
=== Partie III : ''Paris'' ===
{{citation|Je crois que c'est le propre de l'amour, de ne pouvoir demeurer le même ; d'être forcé de croître, sous peine de diminuer ; et que c'est là ce qui le distingue de l'amitié.}}
{{réf Livre
|titre=Les Faux-monnayeurs
|auteur=André Gide
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio Plus
|année=1925
|partie=III (« Paris »)
|chapitre=10
|page=264
|ISBN= 2-07-036879-3}}
{{citation|Au fond, je me demande quel pourrait être l'état d'une femme qui ne serait pas résignée ? J'entends : d'une “ honnête femme ”… Comme si ce que l'on appelle “ honnêteté ”, chez les femmes, n'impliquait pas toujours de la résignation !}}
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