« Les Barbouzes » : différence entre les versions

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'''[[{{w:Les Barbouzes|Les Barbouzes]]}}''' est un film de [[{{w:Georges Lautner|Georges Lautner]]}}, sorti sur les écrans en [[w:{{œuvre|de 1964|1964]]}}. Les dialogues sont de [[Michel Audiard]].
 
== Citations remarquables ==
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== Répliques remarquables ==
{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|Francis Lagneau}} : Si la pluie continue, les fraisiers seront en retard.<br />
{{Personnage|Le réceptionniste}} : Mais les grenouilles seront en avance !
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
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}}
 
{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|Le groom}} : Le Chinois vient de tomber de la terrasse. Il est mort !<br />
{{Personnage|Le réceptionniste}} : Un client part, un autre arrive !
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
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}}
 
{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|Rudolphe}} : Qu'est qu'il se passe ?<br />
{{Personnage|Madame Pauline}} : Accident de parcours !
</poem>
|précisions=Au moment du décès de Benar Shah dans le ''claque'' de Mme Pauline.
}}
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}}
 
{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|Francis}} : C'est ça ! Et si je me fais piquer à la frontière avec Son Excellence ?<br />
{{Personnage|Le Colonel Lanoix}} : Mon cher, si vous vouliez être couvert, il fallait vous engager dans la Gendarmerie !
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
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{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|Madame Pauline}} : Oh... Monsieur Lagneau... Vous n'avez pas connu les soirées du temps de son Excellence.<br />
{{Personnage|Francis Lagneau}} : Croyez bien que je le regrette.<br />
{{Personnage|Madame Pauline}} : C'était pas du tout ce que vous pensez !<br />
{{Personnage|Francis Lagneau}} : M'enfin, écoutez Madame Pauline : faut quand même voir les choses en face... La chambre des glaces, le boudoir chinois, les fillettes au salon... Dans ma jeunesse, ça s'appelait un bor...<br />
{{Personnage|Madame Pauline}} : ...Oh, bien sûr ! Si vous jouez sur les mots ! On leurs fait dire ce qu'on veut aux mots. Pour Monsieur Benar Shah, ma maison, c'était plutôt un décor... Une façon de croire qu'on a pas vieilli, qu'on reste fixé dans une époque. Il pensait pas tellement galipettes, mais plutôt traditions.<br />
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
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{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|Rudolphe}} : Vous connaissez mes références.<br />
{{Personnage|Francis}} : Oh oui, oui ! Elles sont aux archives. Et je dirais même qu'elles encombrent !
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
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{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|Le Chauffeur}} : Dans deux ans, au revoir Messieurs-Dames ! Je serai à l'échelon 7. Les mômes sont élevés. J'ai ma cabane en Dordogne. La retraite, faut la prendre jeune.<br />
{{Personnage|Rudolphe}} : Faut surtout la prendre vivant ! C'est pas dans les moyens de tout le monde !
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
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{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|La serveuse}} : Monsieur déjeune ?<br />
{{Personnage|Francis Lagneau}} : Ben... Il en est question, oui ! Qu'est ce que vous avez ?<br />
{{Personnage|La serveuse}} : Aujourd'hui nous avons le plat de côtes ou les paupiettes ou le civet de lapin.<br />
{{Personnage|Francis Lagneau}} : Ah... Bah... Vous allez me mettre des paupiettes en ouverture et un plat de côtes. Hein !... Non, non, attendez... Mettez-moi d'abord un civet à la place des paupiettes... Et puis mon plat de côtes après, quoi ! Et puis, glissez-moi une petite paupiette avec, quoi !... hein ?<br />
{{Personnage|Le Colonel Lanoix}} : Vous prendrez bien un petit dessert ?<br />
{{Personnage|Francis Lagneau}} : Ah, ouais !... Vous avez des tartelettes ?<br />
{{Personnage|La serveuse}} : oui.<br />
{{Personnage|Francis Lagneau}} : Eh, bien, tout de suite après le fromage, j'y goutterais bien volontiers... Et puis, alors, après... Une petite bricole, ce que vous avez, quoi... Une petite crème renversée ou une petite glace.
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
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{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|Rudolphe}} : Qu'est ce que t'as ? T'es tout dispersé ! Un œil sur la bouffe et l'autre on sait pas où !<br />
{{Personnage|Le Chauffeur}} : Sur le motif ! T'est [[wikt:bath#Adjectif|bath]] toi ! Je suis à deux ans de la retraite, moi ! Tu vois pas qu'on nous le fauche ! Hein !
</poem>
|précisions=En parlant de la caisse contenant la dépouille de Benar Shah.
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{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|Rosalinde}} : C'est drôle que tu ais gardé tout ça.<br />
{{Personnage|Amaranthe}} : Tout peut resservir... Faut jamais rien jeter... La preuve !<br />
{{Personnage|Rosalinde}} : C'est pas à Istanbul que tu le portais ?... Dans "Les mystères de Paris" ?<br />
{{Personnage|Amaranthe}} : Non !... A Beyrouth... Dans "Crac... Voilà le facteur" !
</poem>
|précisions=En parlant de la tenue de deuil d'Amaranthe.
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}}
 
{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|Eusebio}} : Si vous voulez bien, mes frères, prions !<br />
{{Personnage|Francis}} : Ça va peut-être pas être inutile !
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
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{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|Boris}} : Ah ! L'odeur du goudron sur les quais d'Odessa ! Le vent du large dans les cheveux de ce pauvre cher Constantin !<br />
{{Personnage|Amaranthe}} : Mais je croyais qu'il était né à Téhéran.<br />
{{Personnage|Boris}} : Et alors ! On chante aussi bien à Téhéran qu'à Odessa ! Non ?<br />
{{Personnage|Francis}} : Mais le vent du large souffle un peu moins fort ! C'est à 200 bornes de la mer !<br />
{{Personnage|Boris}} : Notion bourgeoise des distances !
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
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{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|Francis}} : N'empêche que dans certaines de nos écoles, le coup du scorpion est désigné aux futurs agents sous le nom de coup du Chanoine !<br />
{{Personnage|Eusebio}} : Et le coup du dynamitage du Boeing avec 114 activistes bélouchistanais à bord ? Est-ce qu'il porte un nom ?<br />
{{Personnage|Francis}} : Jamais entendu parler de ça !<br />
{{Personnage|Eusebio}} : Et la liquidation du réseau Kœnigsmark ? 40 personnes dans du mazout en flammes, c'est rien, mais bon, faut le faire ! Vous me répondrez que sur ces 40 personnes...<br />
{{Personnage|Boris}} : Je ne vous répondrai rien du tout ! Je ne vous parle plus !<br />
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
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{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|Boris}} : Boris est un porc ! Ignoble porc, qui voudrait mourir dans le monde, la vie entière dans le cosmos ! Disparaître !<br />
{{Personnage|Francis}} : T'impatiente pas, papa !<br />
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
Ligne 323 ⟶ 350 :
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{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|Rudolphe}} : Oh ! Devinez ce que je viens de trouver dans le placard à balais !<br />
{{Personnage|Francis}} : Une femme de ménage !<br />
{{Personnage|Rudolphe}} : Quoi, c'est logique ?<br />
{{Personnage|Francis}} : Ah oui ! Et à partir du moment où le valet de chambre se trouve dans le piano, oui !<br />
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
Ligne 342 ⟶ 371 :
 
 
{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|Amaranthe}} : Francis, qui êtes-vous au juste ?<br />
{{Personnage|Eusebio}} : Un fumier et une ordure !<br />
{{Personnage|Boris}} : Un cafard abject, un sycophante glaireux !<br />
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
Ligne 352 ⟶ 383 :
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{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|Boris}} : Qu'est-ce qu'on fait ? On le tue tout de suite, ou on boit café d'abord ? </br>
{{Personnage|Eusebio}} : On réfléchit.</br>
{{Personnage|Hans}} : J'ai la tête vide. Moi, la trahison, ça me démolit !</br>
{{Personnage|Eusebio}} : Question de formation. Moi ça m'inspire.
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
Ligne 363 ⟶ 396 :
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{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|Boris}} : Et maintenant ! Le monstre, comment on le supprime ?<br />
{{Personnage|Eusebio}} : Eh ben, je suggère un truc de bonne femme ! Genre tisane ! Vous savez, la mauvaise santé par les plantes.<br />
{{Personnage|Boris}} : Oh, c'est un peu triste, non ! J'aimerais mieux quelque chose de... de plus enlevé, de plus allègre ! Quelque chose de... dans le genre de ça !<br />
{{Personnage|Hans}} : Qu'est-ce que c'est ?<br />
{{Personnage|Boris}} : Ça, un dérivé lent de la nitroglycérine. 5-6 gouttes dans le potage et le patient explose... wouf ! ...de l'intérieur !<br />
{{Personnage|Eusebio}} : Écoutez, Boris, mon vieux, cessez de jouer avec vos petits produits. Sinon, un jour vous nous ferez péter la gueule.<br />
{{Personnage|Boris}} : Oh ! Si vous préférez le bricolage !<br />
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
Ligne 377 ⟶ 412 :
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{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|Amaranthe}} : T'as connu Benar Shah ?<br />
{{Personnage|Francis}} : Ah ! Pas au mieux de sa forme, non !<br />
{{Personnage|Amaranthe}} : 65 ans, 1 m 40 de tour de taille et deux sujets de conversation : la bourse et le cholestérol ! J'ai supporté ça quatre ans, hein !<br />
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
Ligne 387 ⟶ 424 :
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{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|Francis}} : Bon ! Vous, vous restez là ! Alors, si n'importe qui vous demande l'heure, du feu ou le chemin de la mer ?<br />
{{Personnage|Fiduc et son collègue}} : On flingue !<br />
{{Personnage|Francis}} : Voilà ! C'est ça !<br />
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Les Barbouzes
Ligne 397 ⟶ 436 :
}}
 
{{citation|citation=<poem>
{{citation|citation={{Personnage|Les agents chinois}} : ''(L'un s'adresse à l'autre en chinois - Sous-titrages)'' Il se croit encore sur la Marne. On va lui montrer le Yang Tsé kiang à ce gros ''(idéogrammes chinois)''<br />
{{Personnage|Francis}} : Et ta sœur, elle habite toujours Pékin ?<br />
</poem>
|précisions=En parlant des chinois faisant le guet devant le compartiment de train de Francis.
}}