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Dans la mythologie grecque, les '''{{w|Muse}}s''' sont les neuf filles de Zeus et de Mnémosyne. C'est Platon, puis les néo-platoniciens, qui font des neuf Muses les médiatrices entre le dieu et le poète ou tout créateur intellectuel. En tant que nom commun, la '''muse''' désigne l'inspiration, ou la personne qui inspire l'artiste.
 
== Médias ==
=== Presse ===
==== [[Charles-Augustin Sainte-Beuve]], ''Causeries du lundi'', 1850 ====
{{citation|citation=Concevoir, disait-il, c'est jouir, ''c'est fumer des cigarettes enchantées'' ; mais sans l'exécution, tout s'en va en rêve et en fumée : ''Le travail constant, a-t-il dit encore, est la loi de l'art comme celle de la vie ; car l'art, c'est la création idéalisée. Aussi les grands artistes, les poètes, n'attendent-ils ni les commandes, ni les chalands ; ils enfantent aujourd'hui, demain, toujours. Il en résulte cette perpétuelle connaissance des difficultés qui les maintient en concubinage avec la Muse''.|précisions=Il est ici question de [[Honoré de Balzac|Balzac]].}}
{{Réf Livre|titre=Le siècle du progrès — Anthologie établie et présentée par Pierre Berès|auteur=[[Charles-Augustin Sainte-Beuve]]|éditeur=Hermann (éditeurs des sciences et des arts)|collection=Collection savoir : lettres|année=1992|année d'origine=|page=35|partie=[[Honoré de Balzac|Balzac]]|section=2 septembre 1850. ''Causeries du lundi'', t. II|ISBN=2-7056-6179-4}}
 
== Littérature ==
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