« Musique » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Clelie Mascaret (discussion | contributions)
Clelie Mascaret (discussion | contributions)
Aucun résumé des modifications
Ligne 1 :
[[File:Louise Abbema Musique.jpg|thumb|200px|<center>''Musique'' — [[w:Louise Abbéma|Louise Abbéma]] (1897)</center>]]
La '''{{w|musique}}''' désigne l'art de combiner les sons, en respectant certaines règles.
 
Ligne 15 :
{{citation|citation=[...] A la Bastille, si vous jouez autre chose que de l'accordéon, vous vous faites tuer. Aux Champs-Elysées, soit vous jouez autre chose que de la musique douce, soit vous vous faites tuer. Et dans les autres endroits, en général, si vous jouez autre chose que des sambas, vous vous faites tuer. Il ne reste guère que Saint-Germain-des-Prés.}}
{{Réf Livre|titre=Boris Vian|auteur=Claire Julliard|éditeur=Folio|collection=Biographies|section=Histoires de caves|numéro=8|année=2007|année d'origine=2007|page=155|ISBN=978-2-07-031963-3}}
 
=== Poésie ===
==== [[Antonin Artaud]], ''L'Ombilic des Limbes'', 1925 ====
{{citation|citation=Le soleil a comme un regard. Mais un regard qui regarderait le soleil. Le regard est un cône qui se renverse sur le soleil. Et tout l'air est comme une musique figée, mais une vaste, profonde musique, bien maçonnée et secrète, et pleine de ramifications congelées.}}
{{Réf Livre|titre=L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes|auteur=[[Antonin Artaud]]|éditeur=Gallimard|collection=Poésie/Gallimard|année=1956|année d'origine=1925|partie=L'Ombilic des Limbes|section=« Description d'un Etat Physique »|page=64}}
 
=== Poésie critique ===
==== [[Jean Cocteau]], ''Le Coq et l'Arlequin — Notes autour de la musique'', 1918 ====
{{citation|citation=L’oreille ''réprouve'' mais ''supporte'' certaines musiques ; transportons-les dans le domaine du nez, elles nous obligeraient à fuir.}}
{{Réf Livre|titre=Le Coq et l'Arlequin — Notes autour de la musique|auteur=[[Jean Cocteau]]|éditeur=Ed. De la Sirène|année=1918|page=17}}
Ligne 33 ⟶ 28 :
{{Citation|citation=L'aurore boréale en chambre, voilà un pas de fait ; ce n'est pas tout. L'amour sera. Nous réduirons l'art à sa plus simple expression qui est l'amour ; nous réduirons aussi le travail, à quoi, mon Dieu ? A la musique des corrections lentes qui se payent de mort.}}
{{Réf Livre|titre=Poisson soluble|auteur=[[André Breton]]|éditeur=Gallimard|collection=Poésie|année=1996|année d'origine=1924|page=49|partie=7|ISBN=2-07-032917-8}}
 
==== [[Antonin Artaud]], ''L'Ombilic des Limbes'', 1925 ====
''' Description d'un État Physique '''
{{citation|citation=Le soleil a comme un regard. Mais un regard qui regarderait le soleil. Le regard est un cône qui se renverse sur le soleil. Et tout l'air est comme une musique figée, mais une vaste, profonde musique, bien maçonnée et secrète, et pleine de ramifications congelées.}}
{{Réf Livre|titre=L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes|auteur=[[Antonin Artaud]]|éditeur=Gallimard|collection=Poésie/Gallimard|année=1956|année d'origine=1925|partie=L'Ombilic des Limbes|section=« Description d'un EtatÉtat Physique »|page=64}}
 
==== [[Octavio Paz]], ''Liberté sur parole'', 1958 ====