« Albert Gelin » : différence entre les versions

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{{citation|citation=[[Lucrèce]] a comparé le [[progrès]] humain à un flambeau que se passent successivement les générations terrestres : ici le flambeau a commencé par être une torche fumante où l'élément proprement lumineux a fini par prédominer. La [[promesse]] qui visait apparemment la postérité de Canaan et l'établissement terrestre s'est mué en promesse de biens spirituels (Mt 5,5 ; Rm 4,16) ; l'Alliance mosaïque s'est mué en Nouvelle Alliance (1Co 3) ; le Royaume davidique s'est mué en Royaume des Cieux (Mt 5,3) ; et le Salut des exilés est devenu la justice inhérente à l'âme (Rm 1,16-17). Merveilleux développement, qu'a guidé la main de Dieu, admirable pédagogie qui conduisait les âmes à comprendre peu à peu la nature des «  biens messianiques  », c'est-à-dire l'ensemble des valeurs éternelles pénétrant dans notre monde par le Christ Jésus.}}
{{Réf Livre|titre=Les idées maîtresses de l'Ancien Testament
|auteur=Albert Gelin
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|année=1949
|page=36}}
 
 
{{citation|citation=« Il semble qu'à l'époque de Jésus la croyance soit largement répandue que le Messie n'est pas à chercher parmi les puissants du monde, parmi les rois, mais bien parmi les hommes de Dieu, ceux qu'anime l'esprit des prophètes. » Cette opinion d'un incroyant (Guignebert), qui s'appuie sur des indices fournis par les deux premiers chapitres de saint Luc, mérite d'être notée.}}
{{Réf Livre|titre=Les idées maîtresses de l'Ancien Testament
|auteur=Albert Gelin
|éditeur=Cerf
|année=1949
|page=45}}
 
{{autres projets|w=Albert Gelin}}