« Alexandre Najjar » : différence entre les versions

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{{citation|citation= Pour la première fois, mon père éprouva de la [[honte]] à prodiguer des soins médicaux aux Ottomans. Sa [[conscience]] lui commandait, certes, de soulager la souffrancessouffrance des hommes '''quels qu’ils soient''', sans distinction de race ou de couleur, mais l’idée de porter secours à ceux qui occupaient son pays et asservissaient son peuple lui apparut tout à coup intolérable.
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{{Réf Livre