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|chapitre= La fusion du socialisme et du mouvement ouvrier
|auteur de la contribution=Lénine
|titre de la contribution= ''Que Faire ?''
|année de la contribution=1902
}}
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{{Citation| L'indignation vertueuse avec laquelle nos libéraux parlent de pogromes ne peut manquer de donner à tout révolutionnaire une impression de lâcheté lorsque nos libéraux, tout en portant cette condamnation vertueuse contre les pogromes, n'en envisagent pas moins l'idée d'engager des pourparlers et de passer des accords avec leurs auteurs. La monarchie devait forcément se défendre contre la révolution et la monarchie semi-asiatique, féodale, "russe" des Romanov, ne pouvait se défendre que par les moyens les plus grossiers, les plus répugnants, les plus cruels et les plus vils : la seule méthode de lutte contre les pogromes qui soit digne d'un socialiste et d'un démocrate, la seule qui soit raisonnable, ce n'est pas de prononcer des condamnations vertueuses, mais d'apporter une contribution entière et dévouée à la révolution, d'organiser la révolution capable de "renverser" une telle monarchie. Le pogromiste Stolypine s'est préparé à la charge ministérielle de la seule façon dont les gouvernements tsaristes pouvaient le faire : en sévissant contre les paysans, en organisant des pogromes et en sachant couvrir cette "pratique" asiatique de vernis et de phrases, de poses et de gestes "à l'européenne."}}
{{Réf Livre|titre= Oeuvres de Lénine
|auteur=Lénine
|éditeur=Éditions Sociales
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|éditeur=Éditions Sociales
|année=1960
|Tome= 21
|page=429-430
|année d'origine= 1915
|chapitre= Le prolétariat révolutionnaire et le droit des nations à disposer d'elles-mêmes, 16 (29) octobre 1915
|collection=
}}
 
{{Citation|Ce qui caractérise notamment le capitalisme actuel, c'est la dominiation des groupements monopolisitiques constitués par les plus gros entrepreneurs. Ces monopoles sons surtout solides lorsqu'ils accaparent dans leurs seules mains toutes les sources de matières brutes (...) Seule la possession des colonies donne aux monopoles de complètes garanties de succès contre tous les aléas de la lutte avec ses rivaux, même au cas où ses derniers s'aviseraient de se défendre par une loi établissant le monopole d'Etat. Plus le capitalisme est développé, plus le manque de matières premières se fait sentir, plus la concurrence et le manque de matières premières dans le monde entier sont acharnées et plus est brutale la lutte pour la possession des colonies.}}
{{Réf Livre|titre= oeuvresOeuvres de Lénine
|auteur=Lénine
|éditeur=Éditions Sociales
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{{Citation|citation=Nous ne devons pas oublier à quel ennemi nous avons à faire. Les ennemis auxquels nous avons eu affaire jusqu'à présent : Romanov, Kerensky et la bourgeoisie russe — stupide, inorganisée, inculte, qui baisait la botte de Romanov et qui se mit ensuite à fuir avec des traités secrets dans sa poche — ces ennemis représentent-ils quoi que ce soit en comparaison de cette bourgeoisie internationale qui a fait de toutes les conquêtes de l'esprit humain une arme servant à réprimer la volonté des travailleurs et qui a su adapter toute son organisation à l'extermination des hommes ? Tel est l'ennemi qui s'est abattu sur nous à un moment où nous devons dire sans détour que nous n'avons pas d'armée ; or un pays qui n'a pas d'armée ne peut faire autrement que d'accepter une paix incroyablement honteuse. }}
{{Réf Livre|titre= Oeuvres de Lénine
|auteur=Lénine
|éditeur=Éditions Sociales
|année=1961
|Tome = 27
|page=169-170
|chapitre= "Discours prononcé au soviet de Moscou des députés ouvriers, paysans et soldats le 12 mars 1918" (sur la nécessité de signer le traité de Brest-Litovsk )
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{{Citation|Sur le Don, se trouve le général Krasnov que les ouvriers russes laissèrent généreusement en liberté à Pétrograd, quand il leur rendit son épée, car les préjugés des intellectuels sont encore forts et ceux-ci protestaient contre la peine de mort ; le général Kraznov fut libéré à causes des préjugés des intellectuels contre la peine de mort. Je voudrais bien voir maintenant le tribunal populaire, le tribunal ouvrier-paysan, qui ne fusillerait pas Krasnov, comme celui-ci fusille les ouvriers et les paysans. On nous dit que lorsqu'on fusille dans la commission de Djerzinsky c'est bien, mais si le tribunal déclare ouvertement face au peuple tout entier, qu'un tel est un contre-révolutionnaire méritant la peine de mort, c'est mal. Non le révolutionnaire qui ne veut pas être un hypocrite ne peut pas renoncer à la peine de mort. Il n'y a pas eu de révolution et d'époque de guerre civile sans fusillés.}}
{{Réf Livre|titre= Oeuvres de Lénine
|auteur=Lénine
|éditeur=Éditions Sociales
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|Tome = 27
|page=551
|chapitre= Vème congrès des Soviets 4-10 juillet 1918
|année d'origine= 1918
}}
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|page=66
|tome=28
|chapitre= lettre aux ouvriers américains, 20 août 1918
|année d'origine=1918
|auteur= Lénine
}}
 
{{Citation|Les ouvriers des villes ont renversé les monarques (en Angleterre et en France on a exécuté les rois, il y a déjà quelques centaines d’années et nous étions en retard avec notre tsar), et pourtant après un certain temps l’ancien régime était restauré. C’est parce qu’alors il n’existait pas, même dans les villes la grande production qui groupe dans les fabriques et dans les usines des millions d’ouvriers, et les soude en une armée assez solide pour qu’ils puissent sans le soutien des paysans, résister à la fois à la pression des capitalistes et des koulaks.}}
{{Réf Livre|titre=La vérité sur la tragédie des Romanov ; l'impératrice et les grandes duchesses ont survécu.
|éditeur=Tallandier
|année=2012
|page=137
|chapitre=Chapitre 7. Le Premier échange Ouest-Est de l'Histoire
|année d'origine=1918
|auteur= Marc Ferro
}}
{{Réf Livre|titre=Oeuvres de Lénine
|éditeur= Editions sociales
|année=1961
|page=176
|chapitre=Discours devant des délégués de comités de paysans pauvres de Moscou, tenu le 8 novembre 1918
|année d'origine=1918
|auteur= Lénine
}}
 
 
{{Citation|On appelle antisémitisme le fait de semer la haine contre les Juifs. Lorsque la maudite monarchie tsariste vivait ses derniers jours, elle s'efforcait de dresser les ouvriers et les paysans ignorants contre les Juifs. La police tsariste, alliée aux grands propriétaires fonciers et aux capitalistes, organisait des pogroms antijuifs (...) Les ennemis des travailleurs, ce ne sont pas les Juifs. Ce sont les capitalistes de tous les pays. Il y a parmi les Juifs des ouvriers, des travailleurs : ils forment la majorité. Ce sont nos frères opprimés par le capital, nos camarades de combat pour le socialisme. Il y a parmi les Juifs des koulaks, des exploiteurs et des capitalistes, comme parmi les Russes, comme dans toutes les nations. Les capitalistes cherchent à semer et attiser la haine entre les ouvriers de croyances, de nationalités et de races différentes (...) Honte au tsarisme maudit qui torturait et persécutait les Juifs. Honte à ceux qui sèment la haine contre les Juifs, à ceux qui sèment la haine contre les autres nations. Vivent la confiance fraternelle et l'alliance de combat entre les ouvriers de toutes les nations dans la lutte pour le renversement du capital.}}
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{{Citation|En deux ans, dans un des pays les plus arriérés de l'Europe, le pouvoir ds Soviets a fait pour l'émancipation des femmes, pour leur égalité avec le sexe "fort", bien plus que n'ont pu en faire en 130 ans toutes les républiques "démocratiques" évoluées et éclairées du monde. L'instruction, la culture, la civilisation, la liberté, tous ces mots grandiloquents s'allient dans toutes les républiques bourgeoises, capitalistes à des lois d'une bassesse sans nom, d'une saleté répugnante, d'une brutalité bestiale qui consacrent l'inégalité de la femme, les lois sur le mariage et le divorce, l'inégalité des enfants naturels avec les "légitimes", les privilèges pour les hommes, l'humiliation et les offenses pour la femme (...) La république soviétique, république des ouvriers et paysans, a balayé ces lois d'une seule volée, en détruisant de fond en comble l'édifice des mensonges et de l'hypocrisie bourgeoise.}}
{{Réf Livre|titre=Oeuvres de Lénine
|éditeur= Editions sociales
|année=1964
|page=118
|chapitre= Le pouvoir des Soviets et la condition de la femme (''Pravda'', 6 novembre 1919)
|année d'origine=1919
|auteur= Lénine
}}
 
{{Citation|Le pouvoir soviétique en Russie a déjà gagné à ses côtés les ouvriers du monde entier. Il n'est pas un seul pays où on ne parle du bolchevisme et du pouvoir des Soviets. Les capitalistes en parlent avec haine, en écumant de rage ; ils calomnient et mentent sans fin. Mais leur haine justement les trahit, et les ouvriers du monde entier dans leur grande masse tournent le dos à leurs anciens chefs et se rangent aux côtés du pouvoir des Soviets. Accablé et martyrisé par la pression ennemie, le pouvoir soviétique n'en a pas moins vaincu le monde entier ; il l'a vaincu en ce sens qu'il a déjà gagné partout la sympathie des masses laborieuses.}}
{{Réf Livre|titre=Oeuvres de Lénine
|éditeur= Editions sociales
|année=1964
|page=120-121
|chapitre= Deux années de pouvoir soviétique (''Bednota'', 7 novembre 1919)
|année d'origine=1919
|auteur= Lénine
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|année=1976
|page=97
|chapitre=X. Quelques conclusions10
|année d'origine=1920
|collection=Éditions en langues étrangères
}}
 
{{Citation|Le communisme c'est le pouvoir soviétique plus l'électrification du pays entier. Autrement le pays reste un pays de petite culture, et il faut que nous en prenions nettement conscience.}}
{{Réf Livre|titre=VIIIème congrès des Soviets de Russie, 21-29 décembre 1920
|auteur=Lénine
|éditeur=Éditions Sociales
|année=1961
|Tome = 31
|page=537
|chapitre=
|année d'origine= 1920
|collection=
}}
 
{{Citation|Le capitalisme est un mal par rapport au socialisme. Le capitalisme est un bien par rapport au Moyen Age, par rapport à la petite production, par rapport à la bureaucratie qu'engendre l'éparpillement des petits propriétaires. Puisque nous ne sommes pas encore en état de réaliser le passage immédiat de la petite production au socialisme, le capitalisme est, dans une certaine mesure, inévitable, c'est un produit spontané de la petite production et des échanges ; aussi devons-nous l'utiliser (surtout en l'orientant dans la voie du capitalisme d'état) comme maillon intermédiaire entre la petite production et le socialisme ; comme moyen, voie, procédé, modalité assurant l'accroissement des forces productives.}}
{{Réf Livre|titre= ''Œuvres de Lénine''
|auteur=Lénine
|éditeur=Éditions Sociales