« François Mitterrand » : différence entre les versions
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|année=1975}}
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{{citation|citation=[[Valéry Giscard
|précisions=20 avril 1975.}}
{{Réf Livre|titre=
|auteur=François Mitterrand
|éditeur=Flammarion
Ligne 278 :
|année=1978}}
{{citation|citation=À Dublin, où je mène une délégation du Conseil général de la Nièvre, je
|précisions=2 juin 1975.}}
{{Réf Livre|titre=
|auteur=François Mitterrand
|éditeur=Flammarion
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|année=1978}}
{{citation|citation=Ce vieil homme ''[Franco]'' qui va mourir, et qui
|précisions=12 octobre 1975.}}
{{Réf Livre|titre=L’Abeille et l’Architecte
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|année=1978}}
{{citation|citation=Je suis allé cinq fois aux États-Unis d'Amérique. Je n'y étais pas retourné depuis sept ans J'y suis resté six jours. J'ai discuté une heure et demi avec [[w:Henry Kissinger|Henry Kissinger]], déjeuné, dîné, petit-déjeuné avec quinze à vingt parlementaires, ceux dont on dit qu'ils comptent, parlé devant les journalistes du ''National Press Club'', les diplomates et les hommes d'affaires du ''[[w:Council for Foreign Relations|Council for Foreign Relations]]'', ces bancs d'essai des politiques. J'ai aimé ce pays où chacun va à la rencontre du passant et ouvre grand sa porte. J'ai aimé ce pays sans mesure. À Washington, j'ai profité de quelques moments de répit pour remonter la vallée du Potomac. Quelques kilomètres au-delà des faubourgs, et j'entrais dans la Virginie d'''Autant en emporte le vent''. […] Je trouvais avec force le sentiment que j'avais éprouvé lors de mon premier séjour en 1946 : l'Amérique reste à conquérir.
J'avais, à cette époque du moteur à hélices, traversé sur un DC 3 le désert du Colorado. Cela avait duré des heures. Quoi, l'Amérique, cette terre vide, ce satellite abandonné ? À Palm Springs, où vient en week-end la gentry de Los Angeles, si l'on sort de la pelouse où l'on vous sert le thé, on vous recommande : attention aux serpents, ils tuent. À Las Vegas, on doit prendre garde, en pleine ville, à ne pas s'aventurer en dehors du trottoir. L'automobile d'un côté, le scorpion de l'autre : marchons droit. […]
Le dernier soir, nous avons contemplé New York du soixante-cinquième étage du Rockefeller Center. Si l'expression poésie pure a un sens, c'est bien là. La géométrie de cette ville a les dimensions, le rythme, d'un poème. Au-dessous de nous, s'ouvraient les entrailles de la terre, ombres et lumières absorbaient jusqu'à l'idée que l'homme eût existé. je m'étonnai d'avoir vu le matin, à l'entrée d'East River, se lever un vol de canards, des colverts. Ils avaient traversé, sans s'y mêler, une nuée d'étourneaux, juste à la croisée des eaux douces et des eaux salées.
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====''Ici et maintenant''====
{{citation|citation=Supposez un [[w:sondage|sondage]] sur [[w:Accords de Munich|Munich en 1938]], sur
{{Réf Livre
|titre=Ici et maintenant
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|auteur=François Mitterrand, Guy Claisse}}
{{citation|citation=La Droite a des intérêts, peu
{{Réf Livre
|titre=Ici et maintenant
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{{citation|citation=Il y a deux façons de saboter le droit de [[grève]] : le réglementer comme le fait la droite, l'utiliser à tort et à travers comme le fait le [[Parti communiste français|Parti Communiste]].}}
{{Réf Livre
|titre=Ici et maintenant
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|auteur=François Mitterrand, Guy Claisse}}
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|titre=Ici et maintenant
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|titre=Ici et maintenant
Ligne 398 :
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{{citation|citation=Oui, deux peuples pour la même terre et un Dieu de chaque côté, la diplomatie a de quoi
{{Réf Livre
|titre=Ici et maintenant
Ligne 406 :
|auteur=François Mitterrand, Guy Claisse}}
{{citation|citation=Je crois
{{Réf Livre
|titre=Ici et maintenant
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