« Gustav Mahler » : différence entre les versions

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|page=247}}
 
{{citation|[Le chanteur intelligent façonne, amène la note à partir du mot et lui donne ainsi un contenu et une âme, qui se communiquent à tous. Le chanteur inintelligent lance la note sans articuler, il se contente de la porter sur le plan sonore, sans penser au texte, sans égard pour sa compréhension ni son contenu ; mais il plaque sur ceux-ci la mélodie, comme une chose qui ne lui est rattachée qu’extérieurement et accidentellement, sans poids et sans signification ; pour l'auditeur, ni le texte ni l'action ne sont compréhensibles, pas plus de l'intérieur que de l'extérieur, et il n'y prend aucun intérêt.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution
|titre=Souvenirs de Gustav Mahler
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|année=1998
|page=260}}
 
{{citation|[Sur les raisons de croire en Dieu] N'est-ce pas, quand vous voyez une machine compliquée, une automobile, allez-vous contester l'existence d'une force motrice, sous prétexte que vous ne la voyez pas ? Et chez les êtres humains, ne croyez-vous pas qu'il existe une telle force motrice invisible ?}}
{{Réf Livre|titre de la contribution
|titre=Souvenirs de Gustav Mahler
|auteur=Ernst Decsey
|traducteur=Isabelle Werck
|éditeur=L'Harmattan
|année=1998
|page=288}}
 
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