« Débarquement de Provence » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
G1418 (discussion | contributions)
Aucun résumé des modifications
G1418 (discussion | contributions)
Ligne 10 :
=== Libération de Toulon et Marseille===
{{citation|Unité ardente et manoeuvrière qui, sous les ordres du [[:w:Raoul Salan|colonel Salan]], chef d'une haute intelligence tactique, d'un sang froid et d'un courage remarquables, a, dès son débarquement en France, du 20 au 21 août 1944, en six jours de combat ininterrompus et d'une violence sans cesse accrue, vaincu la défense nord-est de Toulon, rejetant l'ennemi de Solliès-Ville, Solliès-Pont, La Farlède, La Valette, le poursuivant jusque dans la place et lui imposant au sixième jour la reddition du fort d'Artigues, dont la chute marqua un moment décisif dans l'enlèvement de la place forte.
|précisions=Citation à l'[[:w:Croix de Guerre 1939-1945|ordre de l'Armée]] attribuée au [[:w:6e régiment de tirailleurs sénégalais|6e régiment de tirailleurs sénégalais]] après la libération de Toulon en août 1944 par la 1ere1re Armée française, Décision n° 124, le 7 novembre 1944, [[:w:Charles de Gaulle|Charles de Gaulle]]}}
{{Réf Livre|titre=L'armée de la victoire: De la Provence à l'Alsace 1944
|auteur=Paul Gaujac
Ligne 18 :
 
{{citation|Unité marocaine de la plus haute valeur guerrière, déjà citée à l'ordre de l'Armée en Tunisie et en Corse. [...] S'est montrée, en France, à la hauteur de son brillant passé. Débarquée le 20 août 1944 sur une dizaine de plage différentes dans la région de Saint Tropez, et engagée dès le lendemain à 120 km de là, devant Aubagne, a enlevé la ville en moins de deux jours d'une lutte sévère et meurtrière. A poussé ensuite sans désemparer sur [[:w:Marseille|Marseille]], forçant du 23 au 28 août les défenses des faubourgs de la cité qui lui étaient opposées, et conquérant successivement, par une série de manœuvres hardies et d'assauts allant jusqu'au corps à corps, [[:w:Saint-Marcel (Marseille)|Saint Marcel]], Saint Loup, la chaîne de Saint Cyr, le Roucas Blanc, le parc Borély, [[:w:Endoume|Endoume]], la Malmousque et le fort Saint Nicolas. En huit jours de combat a fait 4 009 prisonniers, dont un général, trois colonels et 104 officiers.
|précisions=Citation à l'[[:w:Croix de Guerre 1939-1945|ordre de l'Armée]] attribuée au [[:w:goum (militaire)|2e Groupement de Tabors marocains (GTM)]] après la libération d'Aubagne et de Marseille en août 1944 par la 1ere1re Armée française, Décision n° 158, le 21 novembre 1944, [[:w:Charles de Gaulle|Charles de Gaulle]]}}
{{Réf Livre|titre=L'armée de la victoire: De la Provence à l'Alsace 1944
|auteur=Paul Gaujac
Ligne 30 :
A ainsi prouvé à la France retrouvée, l'étonnante vitalité et l'esprit de sacrifice immuable de la vieille armée d'Afrique.
 
|précisions=Citation à l'[[:w:Croix de Guerre 1939-1945|ordre de l'Armée]] attribuée au [[:w:3e régiment de tirailleurs algériens|3e régimentRégiment de tirailleursTirailleurs algériens]] après la libération de Marseille en août 1944 par la 1ere1re Armée française, Décision n° 158, le 21 novembre 1944, [[:w:Charles de Gaulle|Charles de Gaulle]]}}
{{Réf Livre|titre=L'armée de la victoire: De la Provence à l'Alsace 1944
|auteur=Paul Gaujac