Un singe en hiver (film)
Un singe en hiver est un film d'Henri Verneuil sorti en 1962. Les dialogues sont signés Michel Audiard, d'après le roman d'Antoine Blondin.
Citations remarquables
modifierJean Gabin
modifier- Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
- Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
- Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
- Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
- Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
- Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
- Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
- Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
- Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
- Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
- Citation choisie pour le 28 mars 2011.
- Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Jean-Paul Belmondo
modifier- Jean-Paul Belmondo, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
- Jean-Paul Belmondo, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
- Jean-Paul Belmondo, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
- Citation choisie pour le 17 juillet 2011.
- Jean-Paul Belmondo, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
- Jean-Paul Belmondo, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Suzanne Flon
modifier- Suzanne Flon, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
- Suzanne Flon, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Paul Frankeur
modifier- Paul Frankeur, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Noël Roquevert
modifier- Landru en parlant des gendarmes lors du feu d'artifice.
- Noël Roquevert, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
- Landru, dans son magasin, parlant à Albert Quentin et Gabriel Fouquet avant le feu d'artifice.
- Noël Roquevert, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Répliques remarquables
modifierGabriel Fouquet : Les manières se perdent.. on ne s’est jamais couché si tôt à Madrid… j’espère qu’elle me fera tout de même la grâce d’assister à mes débuts aux arènes monumentales ?
Albert Quentin : Je lui ferai part de votre aimable invitation
Gabriel Fouquet : Y’aura du monde ... Luis Miguel attire toujours la foule… y’a longtemps que je rêve de triompher à Madrid… le public sera exigeant … surtout derrière Miguelito… je vais être obligé de prendre des risques …
Albert Quentin : J’espère que tout se passera bien
Gabriel Fouquet : Je mettrai mon costume blanc, celui de mes débuts… vous vous souvenez de cette « Novilla del Tolene »… ce vent froid, ce public affreux … et ce taureau qui voulait pas mourir… moi depuis j’en ai estoqué plus de cent… je suis le plus grand matador français …! Gabriel Fouquet … plus grand que Pierre Schul…! Yo soy unico !
Albert Quentin : L'intention de l'amiral serait que nous percions un canal souterrain qui relierait le Huang Ho au Yang-tsé-Kiang.
Esnault : Le Yang-tsé-Kiang… Bon.
Albert Quentin : Je ne vous apprendrai rien en vous rappelant que Huang Ho veut dire fleuve jaune et Yang-tsé-Kiang fleuve bleu. Je ne sais pas si vous vous rendez compte de l'aspect grandiose du mélange. Un fleuve vert ! Vert comme les forêts, comme l'espérance. Matelot Esnault, nous allons repeindre l'Asie, lui donner une couleur tendre. Nous allons installer le printemps dans ce pays de merde.
- Jean Gabin, Paul Frankeur, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Suzanne : Albert, j'ai peur !
Albert : Bois !
- Pendant un bombardement.
- Suzanne Flon, Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Suzanne : Avoue que c'est quand même une drôle d'heure pour arriver, surtout de ce temps-là !
Albert : Ah ! Les voyageurs c'est fait pour voyager, le temps n'a rien à voir là-dedans !
- Suzanne Flon, Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Albert : Le voyage, votre façon de voyager.
Gabriel : Ah ça ! C'est un secret !
Albert : Oh ! là là ! Le véhicule, je le connais : je l'ai déjà pris. Et ce n'était pas un train de banlieue, vous pouvez me croire. M. Fouquet, moi aussi, il m'est arrivé de boire. Et ça m'envoyait un peu plus loin que l'Espagne. Le Yang-tsé-Kiang, vous en avez entendu parler du Yang-tsé-Kiang ? Cela tient de la place dans une chambre, moi je vous le dis !
- Jean Gabin, Jean-Paul Belmondo, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Albert : Ah parce que tu mélanges tout ça, toi ! Mon Espagnol comme tu dis et le père Bardasse. Les Grands Ducs et les Bois-sans-soif !
Esnault : Les grands ducs !
Albert : Oui, monsieur ! Les princes de la cuite, les seigneurs ! Ceux avec qui tu buvais le coup dans le temps et qui ont toujours fait verre à part ! Dis-toi bien, que tes clients et toi, ils vous laissent à vos putasseries les seigneurs : ils sont à cent mille verres de vous ! Eux, ils tutoient les anges !
Esnault : Excuse-moi, mais nous autres on est encore capable de tenir le litre sans se prendre pour Dieu le Père !
Albert : Mais, c'est bien ce que je vous reproche ! Vous avez le vin petit et la cuite mesquine. Dans le fond, vous ne méritez pas de boire ! Tu te demandes pourquoi il picole l'Espagnol ? C'est pour essayer d'oublier les pignoufs comme vous !
- Jean Gabin, Paul Frankeur, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
- Citation choisie pour le 4 novembre 2010.
Albert : Pourquoi buvez-vous ?
Gabriel : La question m'a déjà été posée Monsieur le Proviseur !
Albert : Probablement par des gens qui vous aiment bien !
Gabriel : Probablement… Claire me la posait trois fois par semaine. Elle devait m'adorer.
- Jean Gabin, Jean-Paul Belmondo, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Albert : Écoute, ma bonne Suzanne, t'es une épouse modèle.
Suzanne : Mof !
Albert : Mais si, t'as que des qualités. Et physiquement, t'es restée comme je pouvais l'espérer. C'est le bonheur rangé dans une armoire. Et tu vois, même si c'était à refaire, et bien je crois que je t'épouserais de nouveau. Mais tu m'emmerdes.
Suzanne : Albert !
Albert : Tu m'emmerdes gentiment, affectueusement, avec amour ! Mais tu m'emmerdes !
J'ai pas encore les pieds dans le trou, mais ça vient, bon dieu ! Tu te rends pas compte que ça vient ? Et plus ça vient, plus je me rends compte que j'ai pas eu ma ration d'imprévu ! Et j'en redemande. T'entends ? J'en redemande !
- Suzanne Flon, Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Albert : Adressez-vous à l'Intendance, nous on paye plus ! On ne connaît plus, on ne salue plus !
Gabriel : On méprise !
- Jean Gabin, Jean-Paul Belmondo, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Marie : Dis p'pa, tu crois qu'il en a vu des singes en hiver ?
Gabriel : Je pense qu'il en a vu au moins un.
- La toute dernière réplique du film.
- Jean-Paul Belmondo, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Gabriel : J'ai trébuché sur un piège à phoques.
- trébuchant, ivre, dans la rue.
- Jean-Paul Belmondo, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard