Vera Rubin
astronome et physicienne américaine
Cette page est une ébauche. N'hésitez pas à la modifier en ajoutant des citations admissibles ! | |
Vera Rubin, née en 1928 et morte en 2016, est une astronome américaine.
Citations
modifierAutres citations
modifierCitations rapportées
modifier Dans ma chambre à coucher, le lit était sous une fenêtre orientée au nord, a-t-elle raconté à Alan Lightman et Roberta Brawer, dans le livre Origins, the Lives and Worlds of Modern Cosmologists (Harvard University Press). A dix ans, j’ai commencé à regarder le ciel. A 12, je restais éveillée pour les observer pendant des heures. (…) Il n’y avait rien de plus intéressant dans ma vie que regarder les étoiles chaque nuit.
- « Mort de l’astronome Vera Rubin, mère de la matière noire », Nathaniel Herzberg, Le Monde, 27 décembre 2016 (lire en ligne)
Je me demande parfois si j’aurais pu étudier les galaxies si elles étaient laides, comme ces limaces qui peuplent mon jardin. Franchement, je ne suis pas sûre.
- « Mort de l’astronome Vera Rubin, mère de la matière noire », Nathaniel Herzberg, Le Monde, 27 décembre 2016 (lire en ligne)
Je vis et travaille en partant des trois principes suivants :
1) Il n'existe aucun problème scientifique qu'un homme peut résoudre et qu'une femme ne pourrait pas.
2) A l'échelle de la planète, la moitié des neurones appartiennent aux femmes.
- « L'astrophysicienne Vera Rubin, chercheuse sur la masse invisible... et pionnière invisibilisée », Guillaume Gendron, Libération, 27 décembre 2016 (lire en ligne)
- « « Chercheuses d’étoiles » : ces quatre femmes méconnues ont révolutionné notre vision de l’Univers », Donald Walther, Le Monde, 8 août 2020 (lire en ligne)
Ma vie a été un voyage intéressant. Je suis devenue astronome parce que je ne pouvais pas imaginer vivre sur Terre et ne pas essayer de comprendre comment fonctionne l’univers. Ma carrière scientifique a tourné autour de l’observation des mouvements des étoiles dans les galaxies et des mouvements des galaxies dans l’univers.
- « Vera Rubin : une lumière dans l’obscurité », Nicolas Martin (invitées : Françoise Combes et Yaël Nazé), France Culture, 5 novembre 2020 (lire en ligne)