Automobile
Une automobile est un véhicule terrestre à roues, propulsé par un moteur embarqué dans le véhicule. Ce type de véhicule est conçu pour le transport sur route de personnes, mais sa définition peut s'étendre jusqu'au transport de marchandises ainsi que jusqu'à des véhicules pouvant fonctionner sur tout terrains.
- Mythologies, Roland Barthes, éd. Seuil, 1970, chap. « La nouvelle Citroën », p. 150 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Citation choisie pour le 6 décembre 2011.
The Blues Brothers
modifier- (en) It's 106 miles to Chicago, we've got a full tank of gas, half a pack of cigarettes, it's dark and we're wearing sunglasses. Hit it.
- Dan Aykroyd, The Blues Brothers (1980), écrit par Dan Aykroyd, John Landis
- Citation choisie pour le 24 octobre 2011.
- (en) I ran outta gas! I had a flat tire! I didn't have enough money for cab fare! My tux didn't come back from the cleaners! An old friend came in from outta town! Someone stole my car! There was an earthquake! A terrible flood! Locusts!! It wasn't my fault I swear to God!!!
- John Belushi, The Blues Brothers (1980), écrit par Dan Aykroyd, John Landis (trad. Wikiquote)
Leopold Saroyan (qui vient d'anéantir la 2 CV d'Antoine Maréchal) : C'est pas grave...
Antoine Maréchal : C'est pas grave ! Vous en avez de bonnes ! Qu'est-ce que je vais devenir moi ?
Leopold Saroyan : Eh bien... piéton !
- Louis de Funès et Bourvil, Le Corniaud (1965), écrit par Georges et André Tabet
Antoine Maréchal (Toujours à propos de sa voiture complètement détruite) : Ah elle va marcher beaucoup moins bien maintenant !
- Bourvil, Le Corniaud (1965), écrit par Georges et André Tabet
Leopold Saroyan (au téléphone avec Ursulla l'auto-stoppeuse allemande) : Ich bin ein freund, un ami, ein freund of herr Antoine Maréchal ! He ist en danger... Verstehen sie danger ? [...] Si vous nicht interveniren, Maréchal Kaput !
Ursulla : Das ist gar nicht möglich !
Leopold Saroyan : Ça je ne peux pas vous dire ! Because der mann, der beau garçon, ach !! ist ein salopard, ein grosse salopard ... qui veut barbotieren... beg your pardon... volieren la Cadillac... Voilà, merci... (il raccroche) Bon, je crois qu'elle a capito !
- Louis de Funès et Beba Loncar, Le Corniaud (1965), écrit par Georges et André Tabet
- Les terrasses de l'île d'Elbe, jean Giono, éd. Gallimard, coll. « L'Imaginaire », 2006 (ISBN 2-07-074383-7), p. 86
coin de la rue, circulant en voiture à toute vitesse, debout sur les marchepieds ou couchés sur les ailes dans des postures de combat, comme on a pu le voir sur certains films de la Révolution russe. Ils contrôlent sans ménagement l'identité des habitants aux terasses des cafés, poussent devant eux, dans les clameurs de la populace, des femmes tondues et des hommes au
visage ensanglanté.- Propos du général Gras de la 1re DFL sur les FFI au lendemain du débarquement de Provence
- Historia mai-juin 1994, Yves Gras, éd. Historia, 1994, L'été de tous les succès pour de Lattre, p. 110
Les Pensées de San-Antonio, 1996
modifier- Les Pensées de San-Antonio, Frédéric Dard, éd. Pocket, 1996, p. 141
- Citation choisie pour le 19 mai 2007.
- Citation choisie pour le 14 juin 2020.
- Fritz Lang à Jean-Luc Godard, à propos d'une scène du film Le Mépris
- Fritz Lang. Le meurtre et la loi, Michel Ciment, éd. Découvertes Gallimard, 2003, p. 94
Citations à revoir, déplacer etc..
modifierProse poétique
modifierFrancis Picabia, Dactylocoque, 1922
modifier- « Dactylocoque », Francis Picabia, Littérature Nouvelle Série, nº 7, Décembre 1922, p. 11
André Breton, Poisson soluble, 1924
modifier- Poisson soluble (1924), André Breton, éd. Gallimard, coll. « Poésie », 1996 (ISBN 2-07-032917-8), partie 1, p. 27