Discussion:Maria Helena Vieira da Silva
Dernier commentaire : il y a 1 mois par Malik2Mars dans le sujet Remontage de fil
Notes
modifierBonjour. Ébauche publiée après un travail en brouillon, avec de nombreuses notes complémentaires. En l’état, pas de sous-sections pour #Citations, cita rangées chronologiquement dans l’ensemble, éventuellement créer sections entretiens pour les 3 ouvrages ci-dessous. Les sources utilisées jusqu’ici pointent différentes éditions de ces entretiens (sauf 1978, une ed); donc voir
- Georges Charbonnier, Le Monologue du peintre, 1959-1960 (I, II). 1980 (ISBN 2-903051-09-7), 2002 (ISBN 2-903539-58-8)
- Pierre Schneider, Les dialogues du Louvre, 2023 (ISBN 978-2-9175-0469-7) (1972), ed 1991 (ISBN 2-87660-132-X)
- ed. 1971 (en) disponible sur Internet Archive
- Anne Philipe, L’éclat de la lumière : entretiens avec Marie-Hélène Vieira da Silva et Arpad Szenes, Gallimard, 1978
A suivre ces semaines prochaines. Malik (discussion) 1 septembre 2024 à 21:10 (CEST)
- Ah, oui, notes Spécial:Pages_liées/Maria_Helena_Vieira_da_Silva (hors Modèle:Palette Femmes peintres, liens pas encore visibles (cf. w:Aide:Purge du cache)), en l’état : Julio Cortázar, Paul Cézanne, Johannes Vermeer. A suivre.
- Malik (discussion) 1 septembre 2024 à 22:04 (CEST)
- Yep, Merci Uchroniste 40 pour tes ajouts ! Pour la signature, j’aime bcp les placer en haut, en introduction section #Citations.
- Note pour bibi : j’ai à dispo un exemplaire numéroté (17) et signé (par l’artiste et l’auteure) de Dora Vallier, Vieira da Silva : La peinture de Vieira da Silva, chemins d’approche, Weber, . . Je vais essayer d’en extraire (proprement) la (les) signature(s) et la (les) téléverser sur Commons. Et puis, prendre le temps de regarder attentivement les données pour les photos (date, photographe, etc) dispo dans les snd., histoire de voir si on peut pas en téléverser certaines sur Commons. Malik (discussion) 13 septembre 2024 à 21:29 (CEST)
Remontage de fil
modifierÀ faire pour (là, la chronologie m’échappe…) :
[ Pas fait. ]Je regarde la rue, les gens marchent à pied et sur différents appareils, à différentes vitesses, je songe aux fils invisibles qui les tirent. Ils n'ont pas le droit de s'arrêter. Je ne les vois plus, j'essaie de voir le rouage qui les meut. Il me semble que cela est peut-être un peu ce que je tâche de peindre.
- (deja rapportée partiellement dans Louvre, 1991 (1972), p. 246 (« Parlant des gens dans la rue, elle écrivait un jour : […] »)
- Monographie, 1993, p. 112 (réf Guy Weelen, p. 146), et p. 150-151 (réf Guy Weelen 1973 , p. 23)
- Maj: A priori, aussi dans cat expo 1964 (SUDOC 164339213)
[ Pas fait. ]Depuis quarante ans que je cherche toujours la même chose, je ne l'ai pas trouvée. Je n'ai pas le droit de dire ce que je cherche, il faut que cette chose précieuse fasse corps avec mon tableau et que l'on puisse la voir. Si je la disais, certains me trouveraient absurde, d'autres humble, d'autres encore trop ambitieuse. Il vaut mieux se taire et courir après.
- https://www.erudit.org/fr/revues/va/1974-v19-n75-va1189715/57745ac.pdf p. 86
- Guy Weelen, Vieira da Silva, (SUDOC 016196066)
=>Voir les ed. de Vieira da Silva, 1987 (1992) (ISBN 2-7022-0323-X) [lire en ligne], …