L'époque arabe fut l'âge d'or de l'Espagne la plus civilisée. Puis vint l'époque des persécutions toujours recommencées.
Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1954, 1er août 1942, p. 227
La civilisation a été l’un des éléments constitutifs de la puissance de l’Empire romain. Ce fut aussi le cas en Espagne, sous la domination des Arabes. La civilisation atteignit là un degré qu’elle a rarement atteint. Vraiment une époque d’humanisme intégral, où régna le plus pur esprit chevaleresque. L’intrusion du christianisme a amené le triomphe de la barbarie. L’esprit chevaleresque des Castillans est en réalité un héritage des Arabes.
Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1954, 28 août 1942, p. 297
Quand notre parti ne comptait encore que 7 membres, il exprimait déjà deux principes : premièrement, il voulait être un véritable parti idéologique ; deuxièmement, il ne tolérait aucun compromis dans l'exercice du seul et unique pouvoir en Allemagne.
A l'époque, la lutte contre le
marxisme avait été érigée pour la première fois comme un des objectifs de notre combat. J'avais fait le vœu de commencer cette guerre en tant qu'individu anonyme et de ne m'arrêter que lorsque ce phénomène aurait été éradiqué de la vie allemande (...) Notre peuple a dû subir
cette inflation qui a anéanti les économies de plusieurs millions de gens. Tout a été manigancé, tout a été provoqué et tout a été engagé par les hommes de la révolution de novembre 1918.
- Hitler annonce que son parti a rejoint un nouveau gouvernement d'unité nationale le 30 janvier.
J'ai fait des discours sans discontinuer.
- Hitler fait jusqu'à dix discours en une seule journée. Au printemps 1932, il fait sa propre propagande par avion couvrant 20 villes en 7 jours. Cinq campagnes d'élections sont menées en une seule année.
Nous sommes intolérants. Je me suis fixé un objectif : chasser ces 30 partis hors de l'Allemagne. Ils me confondent avec ces hommes politiques bourgeois, voire marxistes, qui adhèrent un jour au SPD, un jour à l'USPD, le lendemain au KPD et aux syndicats. Qui sont démocrates aujourd'hui adhéreront au parti du peuple, ou au parti de l’Économie demain. Ils nous confondent avec eux-mêmes. Nous nous sommes fixé un objectif dont nous sommes les défenseurs fanatiques et impitoyables jusqu'à la mort.
L'Est sera pour nous ce que l'Inde a été pour les Anglais. Si je pouvais seulement faire comprendre au peuple allemand ce que cet espace représente pour l'avenir !
Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier) (1951), Adolf Hitler, notes de Henry Picker (trad. René Jouan), éd. Presses de la cité, 1969, 10 septembre 1941, p. 154
Ce que nous appelons l'éducation chauvine du peuple français n'est que l'exaltation excessive de la grandeur de la France dans tous les domaines de la culture ou, comme disent les Français, de la « civilisation ». Un jeune Français n'est pas dressé à se rendre compte objectivement de la réalité des choses : son éducation lui montre, avec la vue subjective que l'on peut imaginer, tout ce qui a importance pour la grandeur de son pays, en matière de politique et de civilisation. Une telle éducation doit toujours se borner à des notions d'ordre général très importantes. Et il est nécessaire qu'elles soient gravées dans le cœur et dans la mémoire du peuple par une constante répétition.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. Nouvelles Éditions Latines, 1934, p. 40
Notre racisme n'est agressif qu'à l'égard de la race juive. Nous parlons de race juive par commodité de langage, car il n'y a pas, à proprement parler, et du point de vue de la génétique, de race juive [...] La race juive est avant tout une race mentale [...] Une race mentale, c'est quelque chose de plus solide, de plus durable qu'une race tout court. Transplantez un Allemand aux États Unis, vous en faites un Américain. Le Juif, où qu'il aille, demeure un juif. C'est un être par nature inassimilable. Et c'est ce caractère même qui le rend impropre à l'assimilation, qui définit sa race. Voilà une preuve de la supériorité de l'esprit sur la chair !
Testament politique d'Hitler, Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper, éd. Fayard, 1959, 13 février 1945, p. 83
Les peuples régis par l'Islam seront toujours plus proches de nous que la France, par exemple, en dépit de la parenté du sang qui coule dans nos veines. Le malheur veut que la France ait dégénéré au cours des siècles et que ses élites aient été subverties par l'esprit juif. Cela a pris de telles proportions que cela est irréparable. La France est condamnée à faire une politique juive.
Testament politique d'Hitler, Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper, éd. Fayard, 1959, 2 avril 1945, p. 180
Les blancs ont toutefois apporté quelque chose à ces peuples (colonisés), le pire qu'ils puissent leur
apporter, les plaies du monde qui est le nôtre : le matérialisme, le fanatisme, l'alcoolisme et la syphilis. Pour le reste, ce que ces peuples possédaient en propre étant supérieur à ce que nous pouvions leur donner, ils sont demeurés eux-mêmes [...] Une seule réussite à l'actif des colonisateurs : ils ont partout suscité la haine. Cette haine qui pousse tous ces peuples, réveillés par nous de leur sommeil, à nous chasser. Il semble même qu'ils ne se soient réveillés que pour cela !
Testament politique d'Hitler, Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper, éd. Fayard, 1959, 7 février 1945, p. 71-72
En tant que chrétien, mon sentiment me désigne mon Seigneur et mon Sauveur comme un combattant. Il m'indique l'homme qui autrefois dans la solitude, entouré de quelques disciples, a reconnu ces juifs pour ce qu'ils étaient, et sommé les hommes de se battre contre eux, et qui, vérité de Dieu !, était le plus grand, pas en tant que souffrant, mais comme combattant. Dans un amour sans limite en tant que chrétien et en tant qu'homme, je lis dans le passage qui nous dit comment enfin le seigneur s'est levé dans Sa puissance et s'est emparé du fouet pour chasser du Temple l'engeance de vipères et de calculateurs. Comme il était terrible, Son combat pour le monde contre le poison juif ! Aujourd'hui, deux mille ans plus tard, c'est avec la plus grande émotion que je reconnais plus profondément que jamais auparavant que c'était pour cela qu'Il a dû verser son sang sur la Croix. En tant que chrétien, je n'ai pas le droit de me laisser berner, mais j'ai le devoir d'être un combattant pour la vérité et la justice. [...] Et s'il est une chose qui pourrait montrer que nous faisons bien, c'est la détresse qui grandit chaque jour. Car en tant que chrétien, j'ai aussi un devoir envers mon peuple.
Adolf Hitler, Discours 12 Avril 1922, Munich, dans
Pour en finir avec Dieu, paru chez Robert Laffont, 2006, p.286,
Richard dawkins.
Le paysan doit savoir ce que l'Église lui a dérobé : l'appréhension mystérieuse et directe de la Nature, le contact instinctif, la communion avec l'Esprit de la terre. C'est ainsi qu'il doit apprendre à haïr l'Église. Il doit apprendre progressivement par quels trucs les prêtres ont volé leur âme aux Allemands. Nous gratterons le vernis chrétien et nous retrouverons la religion de notre race. C'est par la campagne que nous commencerons, et non par les grandes villes !
Hitler m’a dit (1939), Hermann Rauschning, éd. Hachette Pluriel, 1995, p. 99
Le germanisme dut ainsi rétrograder lentement, mais sans arrêt, devant cet abus sournois de la religion et faute de toute défense suffisante.[...] Les efforts anti-allemands des Habsbourg ne trouvèrent point, surtout parmi le clergé supérieur, l'opposition qui s'imposait, et la défense même des intérêts allemands fut complètement négligée.
L'impression générale ne pouvait pas varier : le clergé catholique tel quel causait un brutal préjudice aux droits des Allemands. Il paraissait donc que l'Église non seulement n'était pas de cœur avec le peuple allemand, mais qu'elle se rangeait de la façon la plus injuste aux côtés de ses adversaires. La raison de tout le mal, d'après Schoenerer, résidait dans le fait que la tête de l'Église catholique ne se trouvait point en Allemagne ; et c'était là une cause suffisante de son attitude hostile aux intérêts de notre nation.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. Nouvelles Éditions Latines, 1934, p. 112-113
Tandis que les deux concessions en Asie et en Afrique maintiennent des missions pour attirer de nouveaux adeptes à leur enseignement – activité qui, devant les progrès de la foi mahométane, ne peut enregistrer que de très modestes succès – on perd en Europe même des millions et des millions d’adeptes, à l’intérieur du pays même, qui restent étrangers à la vie religieuse ou qui vont leur chemin de leur côté.
Il faut remarquer avec quelle violence continue le combat contre les bases dogmatiques de toutes les religions, sans lesquelles pourtant, en ce monde humain, on ne peut concevoir la survivance effective d’une fin religieuse. La grande masse du peuple n’est pas composée de philosophes ; or, pour la masse, la foi est souvent la seule base d’une conception morale du monde. Les divers moyens de remplacement ne se sont pas montrés si satisfaisants dans leurs résultats, pour que l’on puisse envisager, en eux, les remplaçants des confessions religieuses jusqu’alors en cours. Mais si l’enseignement et la foi religieuse portent efficacement sur les couches les plus étendues, alors l’autorité incontestable du contenu de cette foi doit être le fondement de toute action efficace.
tome I, chapitre 10, p. 471
Le coup le plus dur qui ait jamais frappé l'humanité fut l'avènement du christianisme. Le bolchevisme est un enfant illégitime du christianisme. Tous deux sont des inventions du Juif. C'est par le christianisme que le mensonge délibéré en matière de religion a été introduit dans le monde. Le bolchevisme pratique un mensonge de même nature quand il prétend apporter la liberté aux hommes, alors qu'en réalité il ne veut faire d'eux que des esclaves. Dans le monde antique, les relations entre les hommes et les dieux étaient fondées sur un respect instinctif. C'était un monde éclairé par l'idée de tolérance. Le christianisme fut la première croyance dans le monde à exterminer ses adversaires au nom de l'amour. Sa marque est l'intolérance.
Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 11-12 juillet 1941, p. 7
Le christianisme est une rébellion contre la loi naturelle, une protestation contre la nature. Poussé à sa logique extrême, le christianisme signifierait la culture systématique de l’échec humain. [...] Mais il n’est pas question que le national-socialisme se mette un jour à singer la religion en établissant une forme de culte. Sa seule ambition doit être de construire scientifiquement une doctrine qui ne soit rien de plus qu’un hommage à la raison [...] Il n’est donc pas opportun de nous lancer maintenant dans un combat avec les Églises. Le mieux est de laisser le christianisme mourir de mort naturelle. Une mort lente a quelque chose d’apaisant. Le dogme du christianisme s’effrite devant les progrès de la science. La religion devra faire de plus en plus de concessions. Les mythes se délabrent peu à peu. Il ne reste plus qu’à prouver que dans la nature il n’existe aucune frontière entre l’organique et l’inorganique. Quand la connaissance de l’univers se sera largement répandue, quand la plupart des hommes sauront que les étoiles ne sont pas des sources de lumière mais des mondes, peut-être des mondes habités comme le nôtre, alors la doctrine chrétienne sera convaincue d’absurdité [...] Tout bien considéré, nous n’avons aucune raison de souhaiter que les Italiens et les Espagnols se libèrent de la drogue du christianisme. Soyons les seuls à être immunisés contre cette maladie.
Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 10-14 octobre 1941, p. 51-60
Je conçois que l'on puisse s'enthousiasmer pour le paradis de Mahomet, mais le fade paradis des chrétiens !
Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 13 décembre 1941, p. 141
Je vais devenir très religieux. Je vais devenir homme d'Église. Je serai bientôt le grand chef des Tartares. Déjà Arabes et Marocains mêlent mon nom à leurs prières. Chez les Tartares, je deviendrai Khan. La seule chose dont je serai incapable, c'est d'accepter de partager le metchoui avec les cheiks. Qu'ils me tiennent quitte, moi, végétarien, de la viande. S'ils n'attendent pas trop longtemps, je me rabattrai sur les harems !
Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 13 janvier 1942, p. 199
C'est le christianisme qui a causé la perte de Rome. Ce ne sont ni les Germains ni les Huns.
Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 27 janvier 1942, p. 247
Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, la face du monde eût changé. Puisque le monde était déjà voué à l’influence judaïque (et son produit, le christianisme, est une chose si fade!) il eût beaucoup mieux valu que le mahométisme triomphât. Cette religion récompense l’héroïsme, elle promet aux guerriers les joies du septième ciel… Animés par un tel esprit, les Germains eussent conquis le monde. C’est le christianisme qui les en a empéchés.
Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1954, t. 2, 28 août 1942, p. 297
Nous avons la malchance de ne pas posséder la bonne religion. Pourquoi n'avons nous pas la religion des Japonais, pour qui se sacrifier à sa patrie est le bien suprême ? La religion musulmane aussi serait bien plus appropriée que ce christianisme, avec sa tolérance amollissante.
Au cœur du troisième Reich, Albert Speer, propos d'Adolf Hitler, éd. Fayard, 1971, p. 138
Quelle catastrophe quand une femme se met à réfléchir aux problèmes de l'existence ! Comme elles peuvent alors nous porter sur les nerfs !
Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier) (1951), Adolf Hitler, notes de Henry Picker (trad. René Jouan), éd. Presses de la cité, 1969, 1er mars 1942, p. 208
Je suis un ami des bêtes et j'aime particulièrement les chiens. [...] Quelles bêtes merveilleuses : intelligentes, attachées à leur maître, braves, sensibles et belles ! Un chien d'aveugle est une des choses les plus émouvantes qui soient. Il est plus attaché à l'homme que n'importe quel autre de son espèce. S'il va voir une amie, il revient tout de suite et avec la conscience mauvaise.
Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier) (1951), Adolf Hitler, notes de Henry Picker (trad. René Jouan), éd. Presses de la cité, 1969, 26 janvier 1942, p. 180
- Voir le recueil de citations : Mein Kampf
Je remercie cette époque de m’avoir rendu dur et capable d’être dur. Plus encore, je lui suis reconnaissant de m’avoir détaché du néant de la vie facile, d’avoir extrait d’un nid délicat un enfant trop choyé, de lui avoir donné le souci pour nouvelle mère, de l’avoir jeté malgré lui dans le monde de la misère et de l’indigence et de lui avoir ainsi fait connaître ceux pour lesquels il devait plus tard combattre.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. II, Années d’études et de souffrances à Vienne, p. 58
[...] politicien : cette sorte de gens dont l’unique et véritable conviction est l’absence de conviction, associée à une insolence importune et à un art éhonté du mensonge.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. III, Considérations politiques générales touchant mon séjour à Vienne, p. 132
Ce que nous désignons toujours par « opinion publique » ne repose que pour une part minime sur l’expérience personnelle et sur les connaissances des individus ; par contre, elle est en majeure partie suscitée, et cela avec une persévérance et une force de persuasion souvent remarquable, par ce qu’on appelle « l’information ».
De même que les convictions religieuses de chacun sont issues de l’éducation, et que ce sont seulement les aspirations religieuses qui sommeillent au cœur de l’homme, ainsi l’opinion politique de la masse est l’aboutissement d’une préparation de l’âme et de l’esprit souvent incroyablement opiniâtre et profonde.
La part de beaucoup la plus forte prise à la « formation » politique, que l’on désigne en ce cas d’une façon très heureuse par le mot de propagande, incombe à la presse. Elle assume en tout premier lieu le travail d’« information » et devient alors une sorte d’école pour les adultes. Seulement, cet enseignement n’est pas aux mains de l’État, mais entre les griffes de puissances, qui, pour la plus grande part, sont tout à fait néfastes.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. III, Considérations politiques générales touchant mon séjour à Vienne, p. 163
[...] pour la première fois, au cours de la guerre, que je pus me rendre compte à quels prodigieux résultats peut conduire une propagande judicieusement menée. [...] Dans cette propagande de guerre ennemie, je me suis énormément instruit.
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande », juin 2008, chap. VI, Propagande de guerre, p. 313 - 314
[...] Si je suis ici aujourd'hui en tant que révolutionnaire, c'est en tant que révolutionnaire contre la Révolution.
Lehrveranstaltung „Schlüsseltexte und -dokumente zur Geschichte des Nationalsozialismus“ : Vernehmung Adolf Hitlers vor dem bayrischen Volksgericht im Februar 1924 (Auszüge), Kurt Bauer, éd. Universität Wien, Institut für Zeitgeschichte, 2008, p. 15