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Version du 12 septembre 2012 à 16:31

On voit bien qu'avec le coeur, l'essentiel est invisble pour les yeux. Antoine de Saint Exupéry
Dissimule ta vie. Epicure
L'art d'imiter est donc bien éloigné du vrai. Platon
La pensée est le labeur de l’intelligence, la rêverie en est la volupté. Victor Hugo
Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse. Alfred de Musset
Le succès c'est d'aller d'échec en échec sans perdre son enthousiasme. Winston Churchill
Il est bon d'apprendre quelquefois aux heureux de ce monde, qu'il est des bonheurs supérieurs aux leurs, plus vastes et plus raffinés. Charles Baudelaire
Les Français sont faits pour composer de la musique d'opéra, les Italiens pour la chanter, les Allemands pour la jouer, les Anglais pour l'entendre et les Américains pour la payer.Enrico Caruso
Il n'y a rien de mieux que ce que les Français font bien et rien de pire que ce qu'ils font mal. Benoît XVI
Je n'enseigne pas, je raconte. Montaigne
La seule révolution est d'essayer de s'améliorer en espérant que les autres en feront autant. Georges Brassens
Le plus intéressant d'un être, ce sont les connexions entre son pire et son meilleur. Jean Rostand
Il faut tout donner à la vie pour que la mort n’ait plus rien à prendre. André Gide
Ils bâtissent avec des pierres et ils ne voient pas que chacun de leurs gestes pour poser la pierre dans le mortier est accompagné d'une ombre de geste qui pose une ombre de pierre dans une ombre de mortier. Et c'est la bâtisse d'ombre qui compte. Jean Giono
Le droit de dire et d’imprimer ce que nous pensons est le droit de tout homme libre, dont on ne saurait le priver sans exercer la tyrannie la plus odieuse... Voltaire
Le bonheur c'est le plaisir sans remords. Socrate
Regarde, en effet, quand la lumière du soleil fait pénétrer un faisceau de rayons dans l'obscurité de nos maisons : tu verras une multitude de corpuscules s'entremêler de mille façons à travers le vide dans le faisceau lumineux et, comme soldats d'une guerre éternelle, se livrer combats et batailles, guerroyer par escadrons, sans trêve, et ne cessant fiévreusement de se joindre et de se séparer : tu peux te figurer par là ce qu'est l'agitation sans fin des atomes dans le grand vide, autant toutefois qu'une petite chose peut en représenter une grande et nous guider sur la trace de sa connaissance. Une autre raison d'observer attentivement les corpuscules qui s'agitent en désordre dans un rayon de soleil, c'est qu'une telle agitation nous révèle les mouvements invisibles auxquels sont entraînés les éléments de la matière. Car souvent tu verras beaucoup de ces poussières, sous l'impulsion sans doute de chocs imperceptibles, changer de direction, rebrousser chemin, tantôt à droite, tantôt à gauche et dans tous les sens. Or, leur mobilité tient évidemment à celle de leurs principes. Les atomes, en effet, se meuvent les premiers par eux-mêmes ; c'est ensuite au tour des plus petits corps composés : les plus proches des atomes par leur force ; sous leurs chocs invisibles ils s'ébranlent, se mettent en marche et eux-mêmes en viennent à déplacer des corps plus importants. C'est ainsi que part des atomes le mouvement, qui s'élève toujours et parvient peu à peu à nos sens, pour parvenir enfin à la poussière que nous apercevons dans les rayons du soleil, alors même que les chocs qui la mettent en mouvement nous demeurent invisibles. Lucrèce

Il existe un malentendu général chez tous les êtres humains nés sur cette terre : la tendance à coire que la meilleure façon de vivre est d'essayer d'éviter la douleur et de contenter de rechercher le confort. On peut observer cela chez les insectes, les animaux et les oiseaux. Nous sommes tous les mêmes. Pema Chödrön