Vie
La vie est une activité spontanée propre aux êtres organisés, qui se manifeste par les fonctions de nutrition et de reproduction, auxquelles s’ajoutent chez certains êtres les fonctions de relation, et chez l’homme la raison et le libre arbitre. Par extension elle désigne toutes activités vivantes de l’homme. La vie s'est développée sur la planète Terre. La vie née ailleurs que sur Terre est la vie extraterrestre.
Cinéma
modifierRobert Zemeckis, Forrest Gump, 1994
modifier- (en) Forrest Gump: Mama always said life was like a box of chocolates, you never know what you're gonna get.
- Citation choisie pour le 15 août 2010.
- Citation choisie pour le 1 mai 2015.
- Tom Hanks, Forrest Gump (1994), écrit par Robert Zemeckis
Ecrits
modifierAutoportrait au radiateur, 1997
modifierJ'aime de plus en plus cette vie à laquelle je prends de moins en moins part.
- Autoportrait au radiateur (1997), Christian Bobin, éd. Gallimard, coll. « nrf », 1997 (ISBN 2-07-074978-9), p. 138
La lenteur qui fleurit, 2011
modifier- « La lenteur qui fleurit », Christian Bobin, Le Monde des religions, 1 septembre 2011 (lire en ligne)
Chers amis, au cours de mes précédentes méditations, nous avons pu voir que la vie a imposé la mort corporelle comme une de ses propres lois, cela afin que la vie soit vie, qu'elle soit en devenir. La mort n'étant que la cessation d'un certain état de la vie, elle n'existerait pas si n'existait la vie. La mort corporelle, inéluctable, révèle paradoxalement la vie comme le principe absolu. Il n'y a qu'une seule aventure, celle de la vie. Cette aventure, rien ne peut plus faire qu'elle ne soit advenue dans l'univers et qu'elle ne se poursuive.
- Cinq méditations sur la mort, autrement dit sur la vie, François Cheng, éd. Albin Michel, 2013 (ISBN 978-2-226-25191-6), p. 103
Rappelons-nous la phrase de Jankélévitch : « Si la vie est éphémère, le fait d’avoir vécu une vie éphémère est un fait éternel. »
- Cinq méditations sur la mort, autrement dit sur la vie, François Cheng, éd. Albin Michel, 2013 (ISBN 978-2-226-25191-6), p. 117
Par la pauvre action, obstinément poursuivie, de quelques dessins, de quelques vers remémorés, ou de quelques cours, la vie nue, la vie biologique, l’existence commune aux être vivants, la vie-sans-la-personne à laquelle le camp les avait réduits, susceptible donc d’être ôtée à tout moment comme elle le fut dans le monde concentrationnaire, n’a pas réussi à prévaloir sur l’habitus de la vie dans sa dimension de rapport à autrui, la vie en société, la vie comme façon réfléchie de vivre et de se comporter, dans la vie et dans la mort, avec ses semblables. Pour reprendre la distinction introduite par Aristote, la zoé n’a pas prévalu sur le bios, pas plus que le Cronos n’a triomphé de Mnémosyne.
- La barbarie ordinaire. Music à Dachau, Jean Clair, éd. Gallimard, coll. « nrf », 2001 (ISBN 978-2-07-076094-7), p. 114, 115
- Vivons heureux en attendant la mort, Pierre Desproges, éd. Seuil, 1983 (ISBN 2020320428), chap. prélude, p. 14
François Mitterrand
modifier- François Mitterrand et Jean-Pierre Elkabbach, François Mitterrand : Conversations avec un président - Partie IV « En général les inquisiteurs sont des lâches… », Marie-Ève Chamard, Philippe Kieffer, France 2, 3 mai 2003
- Littératures (1980), Vladimir Nabokov (trad. Hélène Pasquier), éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2010, partie Littératures I, L'Art de la littérature et le bon sens, p. 486
Dario jura tout bas. Pourquoi, pour d'autres, la vie avait-elle un goût subtil et délicieux ? Pour lui, c'était une nourriture crue et grossière à chercher avec peine, à arracher avec effort. D'un coup de dents, lorsqu'il était impossible de faire autrement. Pourquoi ?
- 23 février 1845 George Sand à Bocage
- Correspondance, George Sand, éd. Classiques Garnier, 1964, t. VI, p. 807
Partir avant le jour, à tâtons, sans voir goutte,
Sans songer seulement à demander sa route,
Aller de chute en chute, et, se traînant ainsi,
Faire un tiers du chemin jusqu'à près de midi ;
Voir sur sa tête alors amasser les nuages,
Dans un sable mouvant précipiter ses pas,
Courir, en essuyant orages sur orages,
Vers un but incertain où l'on n'arrive pas ;
Détrompé vers le soir, chercher une retraite;
Arriver haletant, se coucher, s'endormir ;
On appelle cela naître, vivre et mourir.
La volonté de Dieu soit Faite !
- « Le Voyage », dans Œuvres, Florian, éd. Firmin-Didot, 1865, p. 121
- La Vie devant soi (1975), Romain Gary (Émile Ajar), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1982 (ISBN 2070373622), p. 57
- La Dame à la Louve, Renée Vivien, éd. Alphonse Lemaire, 1904, La Dame à la louve, p. 18
- Les Contemplations, Victor Hugo, éd. Hachette, 1858, t. 1, p. 285
- Citation choisie pour le 6 octobre 2019.
Etienne Pavillon
modifierLa vie est peu de chose, et sa fin n'est terrible
Qu'à ceux qui n'ont jamais osé la méditer ;
Rien ne doit être moins sensible
Que la perte d'un bien qu'on ne peut regretter.
- Œuvres, Etienne Pavillon, éd. Henri du Sauzée, 1720, p. 186
Et je l’ai entendue ainsi pleurer ou rire,
Lasse ou sonore,
Triste ou ravie,
Et j’ai fermé les yeux pour écouter la Vie.
- « Odelette VIII », dans Les jeux rustiques et divins, Henri de Régnier, éd. Mercure de France, 1897, p. 250
- Fureur et mystère (1948), René Char, éd. Gallimard, coll. « Poésie », 1962 (ISBN 2-07-030065-X), partie LE POEME PULVERISE (1945-1947), Le Météore du 13 août, p. 203
Qu'elle soit longue, au moins,
Cette vie qu'il faut vivre.
Car difficile
Est la leçon.
- Sphère, Eugène Guillevic, éd. Gallimard, 1963, p. 25
Marcel Bénabou
modifierA quoi tu penses ?
Je pense que « se réveiller la nuit et habituer ses yeux à la pénombre » pourrait être une définition de la vie.
- « A quoi tu penses ? », Hervé Le Tellier, dans Anthologie de l'OuLiPo, Marcel Bénabou et Paul Fournel (dir.), éd. Gallimard, coll. « Poésie », 2009, p. 357
- La liberté ou l'amour ! (1927), Robert Desnos, éd. Gallimard, coll. « L'Imaginaire », 1962 (ISBN 978-2-07-027695-0), VI. Pamphlet contre la mort, p. 62
Hippolyte Taine, Voyage en Italie, 1866
modifier- Voyage en Italie, Hippolyte Taine, éd. Hachette, 1866, p. 382
Jean-Jacques Rousseau, Julie ou La nouvelle Héloïse, 1761
modifier- Julie ou La nouvelle Héloïse (1761), Jean-Jacques Rousseau, éd. Garnier-Flammarion, coll. « GF Flammarion », 1967 (ISBN 2-08-070148-7), partie III, Lettre XXI à Milord Edouard, p. 283
- Ultime phrase du roman inspirée par Flaubert dans une lettre adressée à Maupassant en 1878 : « Les choses ne sont jamais ni aussi mauvaises ni aussi bonnes qu’on croit ».
- Une vie (1883), Guy de Maupassant, éd. Gallimard, coll. « folio classique », 1974 (ISBN 2-07-041084-6), chap. XIV, p. 278
Renée Dunan, La Culotte en jersey de soi, 1923
modifier- La Culotte en jersey de soi (1923), Renée Dunan, éd. Le Cercle Poche, 2011 (ISBN 978-2-84714-152-8), p. 18
- La Culotte en jersey de soi (1923), Renée Dunan, éd. Le Cercle Poche, 2011 (ISBN 978-2-84714-152-8), p. 19
Julien Green, Léviathan, 1929
modifier- Léviathan (1929), Julien Green, éd. Fayard, coll. « Le Livre de Poche », 1993 (ISBN 978-2-253-09940-6), chap. XIII, p. 156
- « Alexis ou le Traité du Vain Combat » (1929), dans Alexis. Le Coup de Grâce, Marguerite Yourcenar, éd. Gallimard, coll. « Folio », 1971 (ISBN 2-07-037041-0), p. 34
- « Alexis ou le Traité du Vain Combat » (1929), dans Alexis. Le Coup de Grâce, Marguerite Yourcenar, éd. Gallimard, coll. « Folio », 1971 (ISBN 2-07-037041-0), p. 85
- « Alexis ou le Traité du Vain Combat » (1929), dans Alexis. Le Coup de Grâce, Marguerite Yourcenar, éd. Gallimard, coll. « Folio », 1971 (ISBN 2-07-037041-0), p. 117
William Faulkner, Tandis que j'agonise, 1930
modifier- Tandis que j'agonise (1930), William Faulkner (trad. Maurice-Edgar Coindreau), éd. Gallimard, coll. « Du monde entier », 1966, p. 183
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 16 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 69 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 74 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 120 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 137 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 141 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Virginia Woolf, Les Vagues, 1952
modifier- Les Vagues (1931), Virginia Woolf (trad. Michel Cusin), éd. Gallimard, 2012 (ISBN 978-2-07-044168-6), p. 100
Jean-Paul Sartre, Les mots, 1964
modifier- Les mots (1964), Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, coll. « folio », 1972 (ISBN 2-07-036607-3), partie Lire, p. 81
Albert Caraco, Post Mortem, 1968
modifier- Post Mortem, Albert Caraco, éd. L'Âge d'Homme, 1968, p. 22
- Post Mortem, Albert Caraco, éd. L'Âge d'Homme, 1968, p. 22
Robert Lalonde, Le diable en personne, 1989
modifier- Le diable en personne, Robert Lalonde, éd. Seuil, 1989, p. 91
Amélie Nothomb, Le Sabotage amoureux, 1993
modifier- Le Sabotage amoureux (1993), Amélie Nothomb, éd. Le Livre de Poche (Origine : Albin Michel), 02/2001, p. 15
Tonino Benacquista, Le serrurier volant, 2006
modifier- Le serrurier volant, Tonino Benacquista, éd. Gallimard, coll. « Folio », 2009, p. 10
- Le serrurier volant, Tonino Benacquista, éd. Gallimard, coll. « Folio », 2009, p. 10
Benoîte Groult, La Touche étoile, 2006
modifier- La Touche étoile, Benoîte Groult, éd. Le Livre de Poche, 2006, p. 155
Yasmina Khadra, Ce que le jour doit à la nuit, 2008
modifierLe fait de se réveiller le matin relevait du miracle, et la nuit, lorsqu’on s’apprêtait à dormir, on se demandait s’il n’était pas raisonnable de fermer les yeux pour de bon, convaincus d’avoir fait le tour des choses et qu’elles ne valaient pas la peine que l’on s’attardât dessus. Les jours se ressemblaient désespérément ; ils n’apportaient jamais rien, ne faisaient, en partant, que nous déposséder de nos rares illusions qui pendouillaient au bout de notre nez, semblables aux carottes qui font avancer les baudets.
En ces années 1930, la misère et les épidémies décimaient les familles et le cheptel avec une incroyable perversité, contraignant les rescapés à l’exode, sinon à la clochardisation. Nos rares parents ne donnaient plus signe de vie. Quant aux loques qui se silhouettaient au loin, nous étions certains qu’elles ne faisaient que passer en coup de vent, le sentier qui traînait ses ornières jusqu’à notre gourbi était en passe de s’effacer.
Mon père n’en avait cure.
- Ce que le jour doit à la nuit, Yasmina Khadra, éd. Pocket, 2008, p. 12
Anne F. Garréta, Eros mélancolique, 2009
modifier- Eros mélancolique, Anne F. Garréta et J. Roubaud, éd. Grasset, 2008, p. 52
Alexandre Najjar, Kadicha, 2011
modifier- Kadicha, Alexandre Najjar, éd. Plon, 2011, p. 213
Claude Luezior, Impatiences, 1995
modifier- Impatiences, Claude Luezior, éd. Buchet/Chastel, 1995, p. 109
Michel Déon, Un taxi mauve, 1973
modifierJ'entends encore Jerry dire :
– Ah c'est bon de vivre !
A quoi elle ajouta :
– De vivre non ! de revivre oui.
Et Taubelman dans une minute d'exaltation cria presque :
– Ce n'est pas assez de vivre, ni même de revivre. Il faut vivre trois fois. Moi j'ai déjà vécu deux fois. Je vais vivre une troisième fois !
- Un taxi mauve, Michel Déon, éd. Gallimard, coll. « nrf », 1973, p. 160
Théâtre
modifierWilliam Shakespeare, The Tragedy of Macbeth, 1606
modifierQui s'agite et parade une heure, sur la scène,
Puis on ne l'entend plus. C'est un récit
Plein de bruit, de fureur, qu'un idiot raconte
Et qui n'a pas de sens.
- (en) Life's but a walking shadow, a poor player
That struts and frets his hour upon the stage,
And then is heard no more. It is a tale
Told by an idiot, full of sound and fury,
Signifying nothing.
- The Tragedy of Macbeth (1623), William Shakespeare (trad. Yves Bonnefoy), éd. Folio, coll. « Folio classique », 1995 (ISBN 2-07-037676-1), acte V, scène 5, p. 315 (texte intégral sur Wikisource)
- (en) The Oxford Shakespeare, The Complete works, William Shakespeare, éd. Oxford, 1998, acte V, scène 5, p. 998 (texte intégral sur Wikisource)
Jean Giraudoux, Amphitryon 38, 1929
modifierAlcmène à Amphitryon : [...] Moi qui mange avec moins de plaisir si tu te sers d'une cuiller quand j'ai une fourchette, lorsque tu respireras par des branchies et moi par des feuilles, lorsque tu parleras par un coassement et moi par des roulades, ô chéri, quel goût trouverai-je à la vie !
- Amphitryon 38 (1929), Jean Giraudoux, éd. Grasset, coll. « Le Livre de Poche », 1983 (ISBN 2-253-01068-5), partie Acte III Scène III, p. 132
Médias
modifierPresse
modifierCharles-Augustin Sainte-Beuve, Causeries du lundi, 1857
modifier- Il est ici question d'Alfred de Musset.
- Le siècle du progrès — Anthologie établie et présentée par Pierre Berès, Charles-Augustin Sainte-Beuve, éd. Hermann (éditeurs des sciences et des arts), coll. « Collection savoir : lettres », 1992 (ISBN 2-7056-6179-4), partie Alfred de Musset, 11 mai 1857. Causeries du lundi, t. XIII, p. 108
Philosophie
modifierJ'appelle État le lieu où sont tous ceux qui boivent du poison, qu'ils soient bons ou mauvais ; État, l'endroit où ils se perdent tous, les bons et les méchants ; État, le lieu où le lent suicide de tous s'appelle — «la vie».
- Ainsi parlait Zarathoustra, Friedrich Nietzsche (trad. Georges-Arthur Goldschmidt), éd. Le Livre de Poche, coll. « Les Classiques de Poche », 1972 (ISBN 978-2-253-00675-6), partie I, chap. « De la nouvelle idole », p. 6
On a mal regardé la vie, quand on n'a pas aussi vu la main qui tue en gant de velours.
- Par-delà le bien et le mal, Friedrich Nietzsche (trad. Henri Albert), éd. Le Livre de Poche, coll. « Les Classiques de Poche », 1991 (ISBN 978-2-253-05614-0), partie IV, chap. « Maximes et intermèdes », § 69, p. 152
Gaston Bachelard, L'Eau et les rêves, 1942
modifier- L'eau et les rêves — Essai sur l'imagination de la matière (1942), Gaston Bachelard, éd. Le Livre de Poche, coll. « Biblio Essais », 1993 (ISBN 978-2-253-06100-7), partie II, chap. I Les eaux claires, les eaux printanières et les eaux courantes, les conditions objectives du narcissisme, les eaux amoureuses, p. 34
Psychanalyse
modifierMarthe Robert, La Révolution psychanalytique, 1964
modifierÉros et la mort
- La révolution psychanalytique — La vie et l'œuvre de Freud (1964), Marthe Robert, éd. Payot, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 1989 (ISBN 2-228-88109-0), 25. Éros et la mort, p. 358
Psychologie
modifierMary Esther Harding, Les Mystères de la femme, 1953
modifierL'expérience pratique nous révèle que les rêves ou l'activité imaginative qui se manifestent dans l'inconscient de personnes de caractères fort différents présentent des caractéristiques générales comparables à celles du mythe, chez deux catégories d'individus. D'abord chez ceux dont la vie personnelle ne s'est jamais pleinement dégagée de ses origines inconscientes ou s'est trouvée absorbée dans l'élément collectif surgi des profondeurs de l'inconscient ; ensuite dans les rêves d'un tout autre genre d'individus dont les problèmes personnels ont déjà été éclairés soit par l'expérience de la vie elle-même, soit par l'analyse. Ce caractère général des rêves se trouve ainsi chez des individus dont le développement n'est en rien comparable : d'une part chez ceux qui ne sont pas encore parvenus à une vie individuelle dégagée du domaine collectif des images intérieures, d'autre part chez ceux qui ont complètement assimilé leurs problèmes personnels et qui parviennent à une conception plus large de la vie.
Pour ce qui est des individus qui ne sont pas en mesure de mener une vie personnelle satisfaisante et qui traînent encore dans une sorte de brouillard indistinct, le premier soin de l'analyse sera d'établir ce qui leur manque : un rapport personnel avec le monde.
- Les Mystères de la femme (1953), Mary Esther Harding (trad. Eveline Mahyère), éd. Payot & Rivages, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 2001 (ISBN 2-228-89431-1), chap. I. Les mythes et l'esprit moderne, p. 35
- Les Mystères de la femme (1953), Mary Esther Harding (trad. Eveline Mahyère), éd. Payot & Rivages, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 2001 (ISBN 2-228-89431-1), chap. XIV. Renaissance et immortalité, p. 317
Biologie
modifierJames Altucher, Life Tastes Best When You Eat What You Kill, 2011
modifier- La vie a meilleur goût quand vous mangez ce que vous tuez.
- (en) Life Tastes Best When You Eat What You Kill
- « Life Tastes Best When You Eat What You Kill », James Altucher, Internet, 2011 (lire en ligne)